Vieille chanson - Paroles : Auguste Boulanger - mélodie transcrite par Charles Liébeau - Éditeur : Joubert / P. Pralin - Paris (1883)
version Charlus :
--------------------------
Je vous y prends, je vous y prends
Disait un vieux garde champêtre
À de jeunes et tendres amants
Qu'il venait de surprendre en traître
Dans un bois, au pied d'un vieux hêtre
Je vous y prends, je vous y prends
Halte là ! car je vous y prends
Je vous y prends, je vous y prends
Que faisiez-vous là, bons apôtres
Dans cet endroit compromettant
Vous dormiez ? ah ! contez ça à d'autres
On ne dort pas les uns sur les... dans les autres
Je vous y prends, je vous y prends
Halte là ! car je vous y prends
Je vous y prends, je vous y prends
Vous voulez me tromper, ma chère
En feignant un grand mal de dents
Allons donc ! pour une molaire
On ne crie pas : oh, aïe, oh, oh, oh, aïe aïe, ma mère !
Je vous y prends, je vous y prends
Halte là ! car je vous y prends
Je vous y prends, je vous y prends
Suivez-moi chez monsieur le maire
Allons, marchons, il est grand temps
Vous pleurez ? ah ! allons donc, ma chère
Ça n' racc'mmodera pas votre affaire
Je vous y prends, je vous y prends
Halte là ! car je vous y prends