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Titre : | Page de vie |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Piccolini, Henri ; Garnier, Léon ; Roydel, Louis |
Interprète(s) : | Dona, Gaston [Gaston Théodore Boudon] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
Numéro de catalogue : | 97784 |
Date de l'enregistrement : | 1910-1911 |
Instruments : | piano acc. |
État : | Exc+ |
Vitesse (tours/minute) : | 76,2 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 07-10-2014 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Page de vie
Création : Dona au Petit Casino - reprises : Difort, Georgel, Henriès, Marjal, Suzanne Ellen Paroles : Léon Garnier, Louis Roydel - Musique : Henri Piccolini - Éditeur : Digoudé-Diodet - Paris (vers 1910) C’était un joli p’tit trottin D’seize ans à la taille bien faite Fleur d’amour coupée un matin Avec des yeux qui vous font fête Or moi, qui en étais amoureux J’ lui dis un jour, plein de tendresse : Si tu voulais me rendre heureux Ce s'rait de dev'nir ma maîtresse {Refrain :} Elle avait de longs cheveux soyeux Une vraie toison frisée et blonde Un joyeux sourire et des yeux Si grands qu'ils détenaient le monde Elle s’en allait le nez au vent Et tous les hommes en folie Grisés d’amour en la suivant Dieu, qu’elle était jolie ! J'étais un naïf saute-ruisseau Puis clerc chez un huissier modèle Mon chéri, si t'es pas un sot J’ai besoin d’argent, me dit-elle Le patron, le lendemain matin M' confie sa caisse, alors ça m’ tente J'y puise et pour mon p'tit trottin Je dépense une somme importante {au Refrain} Pour ce vol, je fus arrêté Mais le bon juge avec tendresse Parla si bien qu' j' fus acquitté Ayant pour excuse ma jeunesse Depuis, je pleure celle que j'aimais Et plus rien ne me fait envie Car mon cœur est mort pour jamais Sur cette page de ma vie {Refrain :} Elle avait de longs cheveux soyeux Une vraie toison frisée et blonde Un joyeux sourire et des yeux Si grands qu'ils détenaient le monde L’avenir me semble ...?... Pour chasser cet acte de folie Mais j’ lui pardonne en me disant : Dieu, qu’elle était jolie ! |
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