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Titre : | Froussard |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Jouve, Édouard ; Plébus, Lucien ; Jost, Adolphe |
Interprète(s) : | Péheu, Jean |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Aérophone |
Numéro de catalogue : | 650 |
Date de l'enregistrement : | 1909 |
Instruments : | monologue |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 80,5 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 4,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 07-10-2014 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Froussard !
création Sinoël également chanté par Lorin et Jean Péheu - Paroles de Plébus et Jost - Musique de Édouard Jouve - Éditeur : E. Jouve (vers 1907) À moi, à moi, au secours, à l'assassin ! Ah, oui, oui, oui, si j'étais courageux Vous n' le feriez pas, c'est honteux ! Vous vous demandez tous qu'est-ce qui s' passe Ah ben, j' voudrais bien vous voir à ma place ! Ils sont quarante ! ils veulent ma peau ! J'aurais un transport au cerveau Les assassins, ah, quelle secousse Mais c'est pas d' ma faute, moi, j'ai la frousse Oui, oui, ça vous fait rigoler Quand j'ai peur, je n' peux plus parler J'ai les mâchoires qui dansent la gigue Je sens que j' tombe en digue-digue J'ai comme un poids sur le gésier Et des sueurs froides sur le fessier Moi, l' danger, ça m' donne la tremblotte J' voudrais rentrer dans ma culotte Oui, quand j'ai l' taf, je n' peux plus rien faire J'ai les fumerons en fil de fer ! Oui, oui, si j'étais courageux J'en estropierais au moins deux Vous n' savez pas c' que c'est qu' la frousse L' soir dans la rue, quelqu'un qui tousse Eh bien, je crois qu' c'est un guet-apens ! le signal ! J'ai mes abattis qui s' trouvent mal Alors j' veux appeler la police Mais j' reste là comme une saucisse Ah, quand j'ai l' taf, je n' peux plus rien faire J'ai les fumerons en fil de fer ! Oui, oui, si j'étais courageux J'aurais fait un bel amoureux Tenez, l'autre nuit, je couchais chez ma voisine Son époux travaille à l'usine Elle me dit : Si Julot rentrait En te voyant là, il te défoncerait Alors moi qui allais tomber en extase Je n'ai pas pu finir ma phrase Quand j'ai l' taf, je n' peux plus rien faire J'ai les fumerons en fil de fer ! - - - La partition dans la revue hebdomadaire Paris qui chante du 27 octobre 1907 : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k91093494/f6.image.r=Froussard?rk=21459;2 |
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