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Titre : | L'heure des rêves | ||||
Interprète(s) : | Resca | ||||
Fichier audio : | |||||
Photo(s) : |
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Support d'enregistrement : | Disque | ||||
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) | ||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||||
Marque de fabrique, label : | Aérophone | ||||
Numéro de catalogue : | 976 | ||||
Date de l'enregistrement : | 1909-1910 | ||||
Instruments : | orchestre acc. | ||||
État : | Exc++ | ||||
Vitesse (tours/minute) : | 77,3 | ||||
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||||
Date du transfert : | 08-10-2014 | ||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Pochette en patchwork | ||||
Texte du contenu : | L'heure des rêves
Quand vient l'heure des rêves Et que Vénus se lève Quand le firmament a l'air d'un décor Tissé de velours et d'or Sais-tu, Juanita la belle Pourquoi tu retrouves mes yeux Perdus au fond de ta prunelle Et non tournés vers les cieux ? C'est qu'en tes yeux Ô mon amour Je crois voir une flamme Reflet pur de ton âme C'est qu'en tes yeux Je crois toujours Oh, voir ton désir de femme Tout fait d'amour Quand sonne l'heure brève Où se finit le rêve Lorsque tes désirs semblent apaisés Après nos brûlants baisers Sais-tu, Juanita la belle Pourquoi mon regard anxieux Veut fuir l'éclat de tes prunelles Pour se perdre au fond des cieux ? C'est qu'en tes yeux Ô mon amour Jamais ne se prolonge L'ivresse où je te plonge Et j'ai trop peur d'y voir un jour Oh, que tout n'est que mensonge Dans ton amour |
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