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Titre : | Bonsoir Mam'zelle | ||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Berniaux, Désiré ; Bénech, Ferdinand-Louis | ||||
Interprète(s) : | Miller, Gabriel | ||||
Genre : | Café-concert | ||||
Fichier audio : | |||||
Photo(s) : | |||||
Support d'enregistrement : | Disque | ||||
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) | ||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||||
Marque de fabrique, label : | Aérophone | ||||
Numéro de catalogue : | 636 | ||||
Date de l'enregistrement : | 1909 | ||||
Instruments : | orchestre acc. | ||||
État : | Exc++ | ||||
Vitesse (tours/minute) : | 80,6 | ||||
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 1,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||||
Date du transfert : | 26-11-2014 | ||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Pochette en patchwork, n°8 | ||||
Texte du contenu : | Bonsoir mam'zelle
Création : Paul Dalbret (1908 à Ba-ta-clan) - reprises : Gabriel Miller, Paul Fayol, Marjal - Paroles : Ferdinand-Louis Bénech - Musique : Désiré Berniaux - Éditeur : Margueritat - Paris (1907) Version Paul Dalbret [variantes entre crochets : Gabriel Miller] C’était une belle fille travaillant chez un grand couturier C’était un garçon de vingt ans, un tout jeune employé Et comme leurs parents par hasard étaient presque voisins Chaque soir, tous les deux s’attendaient pour faire le chemin {Refrain :} Bonsoir, mamzelle ! Disait l’garçon À la d’moiselle Sans plus d’façons Puis d’vant chez elle [Et d’vant chez elle] Un serr’ment d’mains Bonsoir, mamzelle ! Jusqu’à demain ! Un jour il lui dit : V’là longtemps qu’on s’connait tous les deux J’voudrais vous d’mander un baiser, ça m’rendrait bien heureux ! Mais très crânement la petite fille lui répondit comme ça : Mes baisers, mon cher, j’les réserve à l’homme qui m’épousera ! {Refrain :} Bonsoir, mamzelle ! Lui dit l’garçon Vous êtes cruelle C’est une leçon ! Sans plus en dire La laissant là Avec un rire [sans un sourire] Il s’en alla ! La petite se mit à pleurer croyant l’avoir fâché Regrettant déjà d’lui avoir refusé son baiser Elle rentrait chez elle le cœur gros et des larmes plein les yeux Quand devant sa porte elle trouva le garçon tout joyeux {Refrain :} Bonsoir, mamzelle ! Dit-il, je viens D’chez vous, ma belle D’mander votre main V’là la nouvelle : J’s’rai votre époux Allons, mamzelle Embrassons-nous ! |
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