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Titre : | Verdun ! On ne passe pas |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Mercier, René ; Cazol, Jack ; Joullot, Eugène |
Interprète(s) : | Wolff |
Genre : | Chant patriotique |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Marque de fabrique, label : | Gramophone |
Numéro de double-face : | K539 |
Numéro de matrice : | 20585b |
Date de l'enregistrement : | 1919-06-19 |
État : | Exc |
Vitesse (tours/minute) : | 78 |
Matériel employé au transfert : | Numark TT500USB, SME-Clément, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat |
Date du transfert : | 04-02-2015 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Coll. José Sourillan. Première Guerre mondiale, Grande Guerre, 1914-1918, France, antigermanisme |
Texte du contenu : | Verdun ! on ne passe pas
Création : Bérard (1916) - reprises : Daisy-Montho, Carmen Vildez, Wolff, ... - Paroles : Jack Cazol, Eugène Joullot - Musique : René Mercier - Éditeur : Joullot Bérard : Un aigle noir a plané sur la ville Il a juré d'être victorieux De tous côtés, les corbeaux se faufilent Dans les sillons et dans les chemins creux Mais tout à coup, le coq gaulois claironne "Cocorico, debout petits soldats ! Le soleil luit, partout le canon tonne Jeunes héros, voici le grand combat !" {Refrain:} Et Verdun la victorieuse Pousse un cri que portent là-bas Les échos des bords de la Meuse Halte-là ! On ne passe pas ! Plus de morgue, plus d'arrogance Fuyez, barbares et laquais ! C'est ici la porte de France Et vous ne passerez jamais ! Mais nos enfants dans un élan sublime Se sont dressés et bientôt l'aigle noir La rage au cœur, impuissant en son crime Vit disparaître son suprême espoir Les vils corbeaux devant l'âme française Tombent, sanglants, c'est le dernier combat Pendant que nous chantons la Marseillaise Les assassins fuient devant nos soldats {au Refrain} -------------------- Wolff : Un aigle noir a plané sur la ville Il a juré d'être victorieux De tous côtés, les corbeaux se faufilent Dans les sillons et dans les chemins creux Mais tout à coup, le coq gaulois claironne "Cocorico, debout petits soldats ! Le soleil luit, partout le canon tonne Jeunes héros, voici les grands combats !" {Refrain:} Et Verdun la victorieuse Pousse un cri que portent là-bas Les échos des bords de la Meuse Halte-là ! On ne passe pas ! Plus de morgue, plus d'arrogance Fuyez, barbares et laquais ! C'est ici la porte de France Et vous ne passerez jamais ! Les ennemis s'avancent avec rage Énorme flot d'un vivant océan Semant la mort partout sur son passage Ivres de bruit, de carnage et de sang Ils vont passer quand, relevant la tête, Un officier dans un suprême effort Quoique mourant crie "À la baïonnette ! Hardi les gars, debout ! debout les morts !" {au Refrain} |
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