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Titre : | La femme à papa ; couplets du colonel | ||||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Hervé [Louis Auguste Florimond Ronger] ; Hennequin, Maurice ; Millaud, Albert | ||||||
Interprète(s) : | Rollini, Mme | ||||||
Genre : | Opérette | ||||||
Fichier audio : | |||||||
Photo(s) : | |||||||
Support d'enregistrement : | cylindre | ||||||
Format : | Standard (enregistrement acoustique) | ||||||
Marque de fabrique, label : | Pathé | ||||||
Numéro de double-face : | 579 | ||||||
Date de l'enregistrement : | 1897-1898 | ||||||
Instruments : | piano acc. | ||||||
État : | Exc++ | ||||||
Vitesse (tours/minute) : | 132 | ||||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe Pathé sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | ||||||
Date du transfert : | 21-01-2016 | ||||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Rollini chante ici en anonyme | ||||||
Texte du contenu : | La femme à papa ; couplets du colonel
Création : Anna Judic (1879 au Théâtre des Variétés de Paris) - Paroles : Alfred Hennequin, Albert Millaud - Musique : Hervé Éditeur : A. Allouard, Paris (1885) Tambours, clairons, musique en tête, V'là qu’il arrive, le régiment ! Il va chez l’ maire pour s’ mettre en quête De ses billets de logement ! - Je n'ai plus rien, soldats fidèles, À moins d’ vous loger par faveur Dans un couvent de demoiselles Dit l’ maire qu’était un vieux farceur. Va pour le couvent ! En avant, Répond 1’ colonel en partant Suivi de tout le régiment. Le clairon toujours sonnant, Et l' tambour toujours battant ! Taratata taratata tatatafla Fermez la porte, cria sur l’heure La supérieure du couvent - Faites excuse, ma supérieure, C’est nos billets de logement ! Des militaires chez des jeunes filles ! Dit la bonne femme d’un air dévot, Ça m’ f’rait du tort dans les familles, Faudrait plutôt nous prendre d’assaut ! Va pour l’assaut ! vite en avant ! Dit le colonel en s’élançant Suivi de tout le régiment ! Le clairon sonnait tout le temps, Et l' tambour battait aux champs ! Taratata taratata tatatafla Pendant une année tout entière Le régiment n’a pas r’paru ! Au ministère de la guerre On le porta comme perdu. On r’noncait à trouver sa trace Quand un matin subitement On le vit r’paraître à la place L’ colonel toujours en avant ! Au pas gymnastique crânement Toutes les pensionnaires du couvent Marchaient derrière le régiment Le clairon était flambant Et le tambour triomphant Taratata taratata tatatafla Pour ne pas affliger les belles, Le ministre de la garnison Laissa les petites demoiselles, En voici, je crois, la raison : Une centaine d’enfants de troupe Survint un jour comme par hasard, Et le pauvre colonel en croupe En portait cinq pour sa seule part, Il obtint de l’avancement Pour avoir doublé si prompt'ment L’effectif de son régiment. Le système est excellent Pour aider au recrutement. Taratata taratata tatatafla |
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