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Titre : | À monsieur le chanoine Siméone à l'occasion de sa nomination de chanoine titulaire (partie 2) | |||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Richard, Émilien | |||
Interprète(s) : | Richard, Émilien | |||
Genre : | Enregistrement privé | |||
Fichier audio : | ||||
Photo(s) : | ||||
Support d'enregistrement : | cylindre | |||
Format : | Standard (enregistrement acoustique) | |||
Date de l'enregistrement : | 1904-04-24 | |||
Instruments : | Déclamation, diction | |||
État : | Exc++ | |||
Vitesse (tours/minute) : | 160 | |||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe Pathé sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | |||
Date du transfert : | 21-01-2016 | |||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Religion catholique. Marseille, 24 avril 1914. Il s'agit très vraisemblablement de SIMEONE (Augustin Joseph Marie). Né le 26 septembre 1863 à Marseille. Nommé évêque d'Ajaccio le 27 mai 1916. Sacré le 31 août en la cathédrale de Marseille. Transféré le 30 juillet 1926 au siège de Fréjus et Toulon. Décédé le 22 octobre 1940 à Fréjus. Inhumé en la cathédrale de Fréjus. Voir les autres cylindres gravés en amateur par Émilien Richard | |||
Texte du contenu : | À monsieur le chanoine Siméone à l'occasion de sa nomination de chanoine titulaire.
[partie 1:] Monsieur le chanoine, Ma muse, prête-moi le concours de ta lyre Sur ta lèvre d'amour laisse voir un sourire Et puis accorde-moi ta douce inspiration Je voudrais en ce jour prouver mon affection À l'ami des saints qui malgré tout l'orage Sort enfin victorieux. Pour louer son courage Ô ma muse, viens donc, prête-moi ton appui .................. mon travail ait un fruit Ainsi donc, prête-moi cette langue choisie À laquelle on donna le nom de poésie Tu sais qu'en me servant du langage des dieux Ce que mon cœur conçoit, mon esprit le rend mieux Ainsi donc, cher monsieur, la victoire est complète Hier vos ennemis riaient, riaient encor Mais enfin maintenant ils baissent la tête Car votre front est ceint d'un diadème d'or Laissez vos ennemis, laissez-les se morfondre Laissez-les expier leurs méfaits envers vous Car enfin vous savez que Dieu sait bien confondre Ceux qui prennent plaisir à taquiner les doux Ils voulaient, n'est-ce pas, entraver cette route En jetant sous son pas déjà victorieux La calomnie. Insensés ! qu'est-ce donc qu'on redoute Quand on a pour devise : Honneur, gloire et Dieu Enfin, par ce succès, que devons-nous apprendre Écoutez,écoutez, ma muse dira Ah ! c'est que lorsqu'on fait son devoir sans prétendre Aux faveurs d'ici-bas, Dieu récompensera Tôt ou tard les enfants observant les bonnes causes Et qu'après les chardons viennent toujours les roses Il ne faut pas se décourager Parce qu'il sait toujours, toujours .... [partie 2:] Quand nous avons appris la fameuse nouvelle Nos cœurs se sont emplis d'un doux contentement Car enfin, comprenez que la ...... est très belle Mon Dieu, vous la deviez à ce cœur de diamant Ô mon Dieu, cette joie était très naturelle Quand on a des amis et qu'on apprend ainsi Qu'il ............ le fruit d'une tâche cruelle On a raison, je crois, de se ................ Nous étions tout heureux, oh ! je vous le répète Aujourd'hui de vous voir parmi nous au milieu Notre joie, cher monsieur, est ainsi bien complète ......-vous sur nous mais au regard de Dieu Mais maintenant alors il faut que je résume Que je forme des vœux pour de nouveaux succès Pour vos prochains succès, mais je les présume Qu'ils sont déjà nombreux, mais enfin est-ce assez ? Non, non, j'en suis certain car la route est trop belle Oh ! non, vos pas vainqueurs ne chancelleront pas De la gloire un œil mouille la faute éternelle Et vous la gagnerez dans vos justes combats Maintenant, cher monsieur, j'adresse ma prière À Celui qui nous voit et puis qui nous entend Afin que de vos joies ce ne soit la dernière Et qu'Il vous fasse vivre et vous rende content Que vous restiez longtemps encor sur cette terre Témoins de votre bonté, de votre dévouement Et que tous vos amis ayant en vous un père Prouvent leur amitié, monsieur, en vous aimant Marseille, le 24 avril 1904 |
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