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Titre : | Quitte Montmartre |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Doloire, Émile ; Decaye, André |
Interprète(s) : | Georgel |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Gramophone |
Numéro de double-face : | K-543 |
Numéro de catalogue : | 232777 |
Numéro de matrice : | 20504b |
Date de l'enregistrement : | 1919-05-28 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 77,9 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,2CT sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe Columbia, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 15-02-2017 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Évocation du moulin fatal, le Moulin Rouge. Marie-Claire, cheveux courts bouclés noirs. De Montmartre je suis meunière et mon grain s'appelle l'amour |
Texte du contenu : | Quitte Montmartre
Éditeur : Henri Delormel - Paris (1919) Des cheveux courts, bouclés et noirs De grands yeux riant à la vie Au Moulin-Rouge, chaque soir Elle offrait sa grâce jolie Or, un jour, instinctivement Elle va vers lui, confiante Et le caprice d’un moment Devint amour, passion ardente Mais au souvenir du passé Parfois il disait angoissé : {Refrain :} Quitte Montmartre, Marie-Claire J’ai peur de la Butte, vois-tu !... Là-haut les Moulins cassent et tuent Les tendresses sincères C’est le plus affreux des repaires Où vont les méchants et les fous Montmartre, ce n’est pas pour nous Marie-Claire Le temps passa et la chanson Que chante les Moulins s’oublie Ils avaient pourtant bien raison Pensait Marie-Claire vieillie Or, un soir au moulin fatal Elle revit l’amant de naguère Son cœur tout à coup lui fit mal Et ses yeux de pleurs se voilèrent S’approchant il dit, tout ému : Mais pourquoi n’es-tu pas revenue ? {Refrain :} Quitte-moi, lui dit Marie-Claire A présent c’est trop tard, vois-tu Les regrets seraient superflus Puis à qui bon s’en faire… De Montmartre je suis meunière Et mon grain s’appelle l’amour Pardonne et quitte pour toujours Marie-Claire |
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