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Titre : | Le soldat aviateur, ou le record de la hauteur |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Christiné, Henri ; Rimbault, Eugène |
Interprète(s) : | Miller, Gabriel |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Marque de fabrique, label : | Aérophone |
Numéro de catalogue : | 1386 |
Date de l'enregistrement : | 1919 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc+, pleure |
Vitesse (tours/minute) : | 72 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, SME-Clément, pointe 2,0ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe ffrr, passe-bas 6,5kHz : Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 20-11-2017 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Aéronautique, avion, aviation |
Texte du contenu : | Le soldat aviateur
Création : Polin (1911) - reprises : Gaston Ouvrard, Gabriel Miller Paroles : Eugène Rimbault - Musique : Henri Christiné - Éditeur : Le Tourlourou / Eugène Rimbault Polin [et principales différences Miller] : Aux Moulineaux, mon capitaine me dit : J'vais t'faire un grand honneur Dans mon nouveau biplan, j’t’emmène Pour battre le r'cord de la hauteur Je m'dis : C'truc-là, ça n'm'amuse guère [J'y dis : C'truc-là, ça m'emballe guère] J'aimerais mieux aller dans l'métro Si, si, qu'i’ m'fait, ça va t'distraire Et i’ m'installe dans son zoiseau Tout d'suite, v'là l'machin qui s'débine On monte à mille mètres brusquement L'chef me dit, voyant ma bobine : [L'chef me dit sans voir ma bobine :] On va au nord-est en c'moment Moi, j'pensais à ma pauvre mère J'dis : Ça monte trop, j'ai d'l'inquiétude Son nord-est, ça n'me rassure guère Moi que j'voyage que dans l'nord-sud Soudain, v'là qu'éclate un orage L'chef me dit : Gagnons d'la hauteur ! Allons, mets-toi vite à l'ouvrage Tire les ailerons, maintiens l'tendeur Raidis donc l'pied, pousse à l'essence Bouges-y la queue ! Je dis : Vraiment ? Quand j'suis avec ma connaissance Elle n'oserait pas m'en d'mander tant ! Effrayé, j’tremblais dans mes bottes D’puis longtemps, l’on n’voyait plus l’jour J’avais plus d’sang dans ma culotte Et l’on montait, montait toujours L’vent soufflait dans les ailes en toile J’dis : Ça y est, nous sommes foutus [Je m'dis : Y a pas, nous sommes foutus] Si nous rencontrons une étoile On va s’casser la gueule dessus Tout à coup, v'là quéqu' chose qui casse L’capiston m'dit : Nous descendons En effet, j'sens qu'on fend l'espace Et vlan ! sur la terre nous tombons On s'relève tous deux sans dommage L'chef me dit : Pourquoi donc, là-haut Tu n'as pas coupé l'allumage ? J'y réponds : J'avais pas d'couteau Bref, pour me r'mettre de c't infortune J'vais chez Rose dont j'suis amoureux Oh ! j'ai soif, m’dit ma jolie brune [Oh ! j'ai soif d'amour, m'dit ma brune] Viens qu'on monte au ciel tous les deux Ah ! ben non, qu'j'y réponds, ma chère Monter au ciel, vrai, y penses-tu ! J'ai pas envie d'me r'foutre par terre [J'ai pas envie d'me r'foutre la gueule par terre] Vas-y toute seule, moi, j'marche plus |
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