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Titre : | La Favorite ; jardins de l'Alcazar | |||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Donizetti, Gaetano ; Royer, Alphonse ; Vaëz, Gustave | |||
Interprète(s) : | Devriès | |||
Genre : | Opéra | |||
Fichier audio : | ||||
Photo(s) : | ||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | |||
Format : | Standard (enregistrement acoustique) | |||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | |||
Marque de fabrique, label : | Cylindres artistiques de 1er choix B.C.G. Paris. Les cylindres ne sont ni repris ni échangés | |||
Numéro de catalogue : | 16 | |||
Instruments : | piano acc. | |||
Couleur de la pâte : | marron | |||
État : | Exc | |||
Vitesse (tours/minute) : | 128 | |||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat | |||
Date du transfert : | 10-01-2018 | |||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Collection John Humbley. Annoncé : "chanté par M. Devriès de l'opéra" | |||
Texte du contenu : | La Favorite ; Jardins de l'Alcazar... Léonor, viens
Création : Paul Barroilhet et François Wartel (1840 à l'Académie Royale de Musique) - Paroles : Alphonse Royer, Gustave Vaëz, Eugène Scribe - Musique : Gaetano Donizetti - Éditeur : Maurice Schlesinger, Paris (1840) Devriès : Jardins de l'Alcazar, délices des rois Maures ! Que j'aime à promener sous vos vieux sycomores Les rêves amoureux dont s'enivre mon cœur ! Léonor ! viens, j'abandonne Dieu, mon peuple, mon peuple et ma couronne Que ton cœur, que ton cœur à moi se donne Rien par moi, non, rien par moi n'est regretté Non, rien par moi n'est regretté Ton cœur à moi, ton cœur à moi Léonor ! mon amour brave L'univers des Dieux pour toi, pour toi ; À tes pieds, je suis esclave Mais l'amant se lève roi ! Rien ne peut finir l'ivresse De mes jours liés aux tiens ; Et pour toujours tu m'appartiens Oui, pour toujours tu m'appartiens Léonor, tu m'appartiens Tu m'appartiens Ah ! pour toujours tu m'appartiens Tu m'appartiens ! ---- Fournets : Jardins de l'Alcazar, délices des rois Maures ! Que j'aime à promener sous vos vieux sycomores Les rêves amoureux dont s'enivre mon cœur ! Léonor ! viens, j'abandonne Dieu, mon peuple, mon peuple et ma couronne Que ton cœur, que ton cœur à moi se donne Non, rien par moi, non, rien par moi n'est regretté Il me reste ta beauté Ton cœur à moi, ton cœur à moi Léonor ! mon amour brave L'univers des Dieux pour toi, pour toi ; À tes pieds, je suis esclave Mais l'amant se lève roi ! Rien ne peut finir l'ivresse De mes jours liés aux tiens ; Pour toujours, belle maîtresse Pour toujours tu m'appartiens Pour toujours, pour toujours Ah ! rien ne peut finir l'ivresse De mes jours liés aux tiens Ah ! pour toujours tu m'appartiens Tu m'appartiens ! ------------ Anonyme : Jardins de l'Alcazar, délices des rois Maures ! Que j'aime à promener sous vos vieux sycomores Les rêves amoureux dont s'enivre mon cœur ! Léonor ! viens, j'abandonne Dieu, mon peuple, mon peuple et ma couronne Que ton cœur, que ton cœur à moi se donne Rien par moi, non, rien par moi n'est regretté Non, rien par moi n'est regretté Si pour ciel, pour ciel et pour couronne Ah ! si pour ciel et pour couronne Il me reste ta beauté Que ton cœur à moi se donne Que ton cœur à moi se donne Rien par moi n'est regretté Non, rien par moi, non, rien par moi n'est regretté S'il me reste ta beauté |
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