Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
Titre : | Otello ; credo de Iago | |||||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Giuseppe Verdi | |||||||
Interprète(s) : | Henri Albers | |||||||
Genre : | Opéra | |||||||
Fichier audio : | ||||||||
Photo(s) : | ||||||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | |||||||
Format : | Standard (enregistrement acoustique) | |||||||
Marque de fabrique, label : | Edison | |||||||
Numéro de catalogue : | 17815 | |||||||
Instruments : | orchestre acc. | |||||||
Couleur de la pâte : | noir moulé | |||||||
État : | Exc++, sature | |||||||
Vitesse (tours/minute) : | 160 | |||||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat | |||||||
Date du transfert : | 12-09-2018 | |||||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. | |||||||
Texte du contenu : | Otello ; Credo de Iago
Je crois du fond de l'âme Ainsi qu’une humble femme Priant devant l’autel, Que tout le mal qui trouve en moi sa cause Un sort fatal l’ordonne. Je crois que le juste est un histrion menteur De visage et de cœur Qu’en lui tout n’est qu’imposture : Larmes, baiser, droiture, Sacrifice, honneur. Je crois que l’homme est le jouet fragile du sort, dès le berceau, Jusqu’aux vers du tombeau. Vient après tant d'irrision la Mort. Et puis?... Et puis ? La Mort c’est le Néant. Le Ciel n’est que fable d’enfant ! |
Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |