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Titre : | Le petit Faust ; n'oublions pas que nous sons à cheval | |||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Hervé [Louis Auguste Florimond Ronger] ; Hector Crémieux ; Adolphe Jaime | |||||
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) | |||||
Genre : | Opéra bouffe | |||||
Fichier audio : | ||||||
Photo(s) : | ||||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | |||||
Format : | Lioret n°3 (enregistrement acoustique) | |||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | |||||
Marque de fabrique, label : | Lioret | |||||
Date de l'enregistrement : | 1895-1900 | |||||
Vitesse (tours/minute) : | 100 | |||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 78t sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 6kHz | |||||
Date du transfert : | 12-10-2018 | |||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. | |||||
Texte du contenu : | Le petit Faust ; n'oublions pas que nous sons à cheval
Création : Milher (1869 au Théâtre des Folies-Dramatiques) - Éditeur : Au Ménestrel, Heugel et Cie, Paris (1869) Vaillants guerriers, sur la terre étrangère Combattre est un plaisir Les ennemis y mordront la poussière Et ça les fera mourir ! Une ! deux ! gauche ! droite ! Quand un militaire Il part pour la guerre Il embrasse son père (Et s'il n'a pas de père ?) Il embrasse sa mère (Et s'il n'a pas de mère ?) Il embrasse son frère (Et s'il n'a pas d' petit frère ? Ah! ah ! dame ! s'il n'a pas d' petit frère, alors là, eh bien qu'est-ce qu'il pourrait bien embrasser, hein ? Ah ! ah ! ) Et s'il n'a pas de frère, il se contente alors d'embrasser... (L'a-t-on dit ?) ... sa belle-mère ! (Ah ! v'là qui est pas rigolo, par exemple ! Oh ! pauvre garçon, va, j' le plains) En avant, le joyeux régiment ! Une ! deux ! Et n'oublions pas, messieurs, que nous sons à cheval (..?..) En avant, le joyeux régiment ! Vaillants guerriers, sur la terre étrangère Combattre est un plaisir Les ennemis y mordront la poussière Et ça les fera mourir ! Une ! deux ! à droite ! alignement ! fixe ! Ah ! qui est-ce qui m'a foutu un animal comme ça ? Comment ! vous n'avez pas d' cheval, vous ? Et l'autre, là-bas [...] |
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