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Titre : | L'Africaine ; air de Nélusko : fille des rois | |||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Meyerbeer, Giacomo ; Scribe, Eugène | |||
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) | |||
Genre : | Opéra | |||
Fichier audio : | ||||
Photo(s) : | ||||
Support d'enregistrement : | cylindre | |||
Format : | Lioret n°4 (enregistrement acoustique) | |||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | |||
Marque de fabrique, label : | Lioret | |||
Date de l'enregistrement : | 1899-1901 | |||
Instruments : | chant homme, accompagnement orchestre | |||
Vitesse (tours/minute) : | 104 | |||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 78 sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | |||
Date du transfert : | 16-03-2021 | |||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Hauteur celluloid 78mm, bordure et anneau celluloid. | |||
Texte du contenu : | L'africaine ; fille des rois
Création : Jean-Baptiste Faure (1865 à l'Opéra de Paris) - Paroles : Eugène Scribe - Musique : Giacomo Meyerbeer - Éditeurs : G. Brandus et D. Dufour, Paris (1865) Fille des rois, à toi l'hommage À toi l'hommage que te doit ma fidélité Ni le malheur ni l'esclavage N'ôtent rien à ta majesté Non, non, ni le malheur, ni le malheur ni l'esclavage N'ôtent rien, non, non, non, non, n'ôtent rien, non, n'ôtent rien à ta majesté Fille des rois Fille des rois Mais pour lui, pour Vasco, ce chrétien, Reine, reine, songes-y bien Quand l'amour m'entraîne, Ou bien quand la haine, Ardente et soudaine Me tient en éveil, me tient en éveil En mes sens fermente, Flamme dévorante Qui, chez nous, s'augmente Aux feux du soleil, aux feux du soleil, aux feux du soleil ! Quand l'amour m'entraîne, Ou bien quand la haine, Me tient en éveil, en éveil Chez nous s'augmente aux feux du soleil ! |
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