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Titre : | Sigurd ; des présents de Gunther | |||||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Reyer, Ernest ; Locle, Camille du | |||||||
Interprète(s) : | Tanésy, Léonie | |||||||
Genre : | Opéra | |||||||
Fichier audio : | ||||||||
Photo(s) : | ||||||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | |||||||
Format : | Inter (enregistrement acoustique) | |||||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | |||||||
Marque de fabrique, label : | Pathé | |||||||
Numéro de catalogue : | 547 | |||||||
Numéro de matrice : | 11882 | |||||||
Date de l'enregistrement : | 1905 | |||||||
Instruments : | chant femme, piano acc. | |||||||
Couleur de la pâte : | noir moulé | |||||||
État : | Exc | |||||||
Vitesse (tours/minute) : | 156 | |||||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe Edison elliptique sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | |||||||
Date du transfert : | 29-03-2021 | |||||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. | |||||||
Texte du contenu : | Sigurd ; des présents de Gunther
Création : Rose Caron et Julien Jourdain (1884 au Théâtre de la Monnaie de Bruxelles) - Paroles : Camille de Locle, Alfred Blau - Musique : Ernest Reyer - Éditeur : Tresse et Stock Léonie Tanésy sur Pathé 547 : Sigurd, les dieux dans leur clémence Vers moi t'ont conduit par la main De tes tentes, Sigurd, je prenais le chemin Des présents de Gunther je ne suis plus parée Je porte la verveine et la sauge pourprée Qui brisent les enchantements Qui brisent les enchantements Viens, Sigurd, que crains-tu ?... Viens où la lune éclaire Et mirant ton front pâle à cette source claire Argente ses flots écumants ! - - - Léonie Tanésy et Maurice Vallade sur Pathé 3059: BRUNEHILD, SIGURD Avec ces fleurs que l'eau traîne en courant Avec ces fleurs qui vont aux précipices Avec ces fleurs, terribles maléfices Tombez, roulez, fuyez dans le torrent ! SIGURD Ô Brunehild, le remords me déchire Et de bonheur pourtant mon cœur est enivré ! BRUNEHILD Un sortilège avait tes esprits égaré Un charme avait soumis ton cœur à son empire BRUNEHILD, SIGURD Oublions les maux soufferts, Pour nous les cieux sont ouverts, Que nos âmes confondues, Dans leur ivresse perdues, Chantent l'hymne solennel De leur amour éternel ! |
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