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Titre : | Ma douce Annette [Chanson de marin] - Pour faire sa voix chez Pathé Frères | ||||||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Delmet, Paul ; Botrel, Théodore | ||||||||
Interprète(s) : | Alvarez [Albert Raymond Gourron] | ||||||||
Genre : | Mélodie de concert | ||||||||
Fichier audio : | |||||||||
Photo(s) : | |||||||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | ||||||||
Format : | Inter (enregistrement acoustique) | ||||||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||||||||
Marque de fabrique, label : | Pathé | ||||||||
Numéro de catalogue : | 1632 | ||||||||
Numéro de matrice : | 19242P | ||||||||
Date de l'enregistrement : | 1905 | ||||||||
Instruments : | chant homme , piano acc. | ||||||||
Couleur de la pâte : | noir moulé | ||||||||
État : | faible, moisi | ||||||||
Vitesse (tours/minute) : | 160 | ||||||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe Edison elliptique sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | ||||||||
Date du transfert : | 29-03-2021 | ||||||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Mais pourquoi donc cette mention "Pour faire sa voix (chez Pathé Frères)" ? Il existe un exemplaire en meilleur état dans la collection Tim Fabrizio, mais numérisé avec un pleurage très anormal, audible sur l'UCSB cylinder audio archive : http://www.library.ucsb.edu/OBJID/Cylinder15112 | ||||||||
Texte du contenu : | Chanson de marin - Ma douce Annette
Création : Théodore Botrel (1893), sous le titre "Ma douce Annette" (in Chansons de chez nous) - Paroles : Théodore Botrel - Musique : Paul Delmet - Éditeur : Enoch et Cie. Ma douce Annette a dix-sept ans Depuis les dernières semailles C'est par une nuit de printemps Que nous fîmes nos accordailles Enlacés au pied de la croix Nous écoutions souffler la brise Qui chantait de sa grande voix Tout ainsi que l'orgue à l'église ! Le lin fleuri n'est pas si bleu Que les yeux de ma douce Annette En marchant elle tangue un peu Comme une fine goélette Sa joue est couleur des blés-nas Et des fleurs d'avril sur les branches De plus jolies il n'en est pas Dans le pays des coiffes blanches ! Si je ne dois point revenir Ô mon Dieu, de cette campagne Vite, effacez le souvenir Du cœur qui m'espère en Bretagne ! Qu'il me soit à jamais fermé Que sans nul parjure il m'oublie J'aime mieux n'être plus aimé Que de faire pleurer ma mie ! ----- Blé-nas : blés noirs qui, mûris, sont roses |
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