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Titre : | Rip ; vive la paresse | ||||||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Robert Planquette | ||||||||
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) | ||||||||
Genre : | Opéra-comique | ||||||||
Fichier audio : | |||||||||
Photo(s) : | |||||||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | ||||||||
Format : | Lioret n°4 (enregistrement acoustique) | ||||||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||||||||
Marque de fabrique, label : | Lioret | ||||||||
Date de l'enregistrement : | 1899-1901 | ||||||||
Instruments : | chant homme, accompagnement orchestre | ||||||||
Vitesse (tours/minute) : | 100 | ||||||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 78 sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | ||||||||
Date du transfert : | 05-05-2021 | ||||||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Intéressants bruits de studio : on entend assez nettement que d'autres font de la musique dans le voisinage, en particulier avant l'annonce, mais aussi au cours de l'enregistrement. Note manuscrite de Jean Nirouet au crayon sur papier libre. | ||||||||
Texte du contenu : | Rip, opéra-comique en quatre actes (Robert Planquette)
Vive la paresse (Acte I, scène IV) I Vive la paresse Voilà ma maîtresse je vais la servant En la suivant le nez au vent ! J'aime la montagne, Les prés, la campagne, je chante les bois À pleine voix ! J'aime le tonnerre, Les cieux et la terre ; Mais il est un bien Qu'à tout je préfère : C'est un rien... un souffle... un rien ! Une boucle d'or sous le vent légère, C'est un rien, Un souffle, un rien, Une blanche main qu'on a dans sa main ! II Oui, dans la paresse Est toute sagesse ! Par elle les gens Sont indulgents, Intelligents ! Sous le vert feuillage, Sous le frais ombrage, Pur de tout remords, Moi, je m'endors ! J'aime tout le monde D'amitié profonde ; Mais il est un bien Qu'à tout je préfère C'est un rien, un souffle, un rien, Une boucle d'or sous le vent légère ! C'est un rien, Un souffle, un rien ! Une blanche main qu'on a dans sa main ! |
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