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Titre : | Philémon et Baucis ; couplets de Vulcain | ||||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Gounod, Charles ; Barbier, Jules ; Carré, Michel | ||||||
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) | ||||||
Genre : | Opéra | ||||||
Fichier audio : | |||||||
Photo(s) : | |||||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | ||||||
Format : | Lioret n°4 (enregistrement acoustique) | ||||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||||||
Marque de fabrique, label : | Lioret | ||||||
Date de l'enregistrement : | 1899-1901 | ||||||
Instruments : | chant homme, accompagnement orchestre | ||||||
Vitesse (tours/minute) : | 104 | ||||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 78 sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | ||||||
Date du transfert : | 05-05-2021 | ||||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. On peut comparer les différences d'exécution, du même artiste et du même orchestre, avec celles de http://www.phonobase.org/13604.html | ||||||
Texte du contenu : | Philémon et Baucis ; couplets de Vulcain
Création : Émile Balanqué (1860 au Théâtre-Lyrique) - Paroles : Jules Barbier, Michel Carré - Musique : Charles Gounod - Éditeur : Choudens père et fils, Paris (1860) Au bruit des lourds marteaux d'airain Au sombre éclat de la fournaise Dans mon empire souterrain Je marche et je respire à l'aise Je règne en maître souverain Mais chez vous j'en ai honte Chaque fois que j'y monte J'enrage de me voir Si difforme et si noir Mon aspect vous fait rire Et tout bas j'entends dire : Vénus n'avait pas tort Il mérite son sort Sans écouter le reste Loin du séjour céleste Moi, je fuis. Voilà pourquoi, voilà pourquoi, voilà pourquoi J'aime à rester, à rester chez moi Sous les monts fermés au ciel bleu Je commande toute une armée De noirs géants maîtres du feu Au sein de l'ardente fumée Comme vous là-haut je suis dieu Mais quand Junon m'invite À lui rendre visite J'enrage de me voir Si difforme et si noir Mon aspect la fait rire Et tout bas j'entends dire : Vénus n'avait pas tort Il mérite son sort Sans écouter le reste Loin du séjour céleste Moi, je fuis. Voilà pourquoi, voilà pourquoi, voilà pourquoi J'aime à rester, à rester chez moi |
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