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| Titre : | Nous étions sept | ||||||
| Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Antoine Queyriaux ; Duhem ; Émile Chicot ; A. Sanson | ||||||
| Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) | ||||||
| Genre : | Café-concert | ||||||
| Fichier audio : | |||||||
| Photo(s) : | |||||||
| Support d'enregistrement : | Cylindre | ||||||
| Format : | Lioret n°4 en 2 parties (enregistrement acoustique) | ||||||
| Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||||||
| Marque de fabrique, label : | Lioret | ||||||
| Date de l'enregistrement : | 1899-1901 | ||||||
| Instruments : | chant homme a cappella | ||||||
| Vitesse (tours/minute) : | 100 | ||||||
| Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 78 sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | ||||||
| Date du transfert : | 07-05-2021 | ||||||
| Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. | ||||||
| Texte du contenu : | Nous étions sept
Création : Albens (1894) - reprises : Croidel, Bravo, Claudius, Dranem, Valyd - Paroles : Émile Chicot, Albert Sanson - Musique : Émile Duhem, Antoine Queyriaux Bravo : On s'embêtait ferme au quartier Mais voyant le soleil briller On se dit entre camarades : C'est l' coup d' s'en aller en balade Ah ! dame ! il faut vous dire que… {Refrain :} Nous étions sept Y avait Michaud, y avait Langlois, Y avait Landouillard, y avait moi Y avait Berlurond, Cassoulette Y avait aussi Jean La Tripette Nous étions sept On quitte la caserne aussitôt On marchait sans se dire un mot Quand je reluque une petite boulotte Qu' était rud'ment faite, saperlotte ! Ah ! j'aurais bien voulu lui dire deux mots en particulier Mais voilà, c'est que… {au Refrain} Elle était bonne chez des bourgeois Mais elle voulut pas faire son choix Pour n' pas commettre d'impolitesse Elle nous dit à tous son adresse Ah ! c'était très commode pour aller la voir, vous savez, hé On avait chacun son jour dans la semaine Puisque… {au Refrain} Tout alla bien pendant quéqu' temps Mais il nous vint des embêt'ments La petite avec un air féroce Dit qu'en tout cas j'avais un gosse (?) Ah ! ben non, v'là n'un sale fourbi Aussi, le lendemain, vous savez, personne n'est plus venu la voir Et le surlendemain non plus Et ni un autre jour et cependant, vous savez {au Refrain} Quand il a su ça, notre colon M'a dit : Tu vas vite, mon garçon Reconnaître l'enfant de cette fille V'là comment je suis père de famille Et pendant c' temps-là, les autres y se foutent de ma poire, vous savez Et j'ai beau y dire : Mon colonel, vous savez, c'est pas moi Puisque.... {au Refrain} Ah ! mon colonel, c'est pas d' ma faute ---------------- Anonyme : On s'embêtait ferme au quartier Mais voyant l' soleil briller On s' dit comme ça entre camarades : Eh ben, c'est l' coup de' s'en aller en balade On quitte la caserne aussitôt On marchait sans se dire un mot Quand je r'luque une petite boulotte Oh la la la la ! qu'était rud'ment faite, saperlipopotte ! J'y aurais bien dit deux mots en particulier Mais voilà, c'est que… { Refrain :} Nous étions sept Y avait Michaud, y avait Langlois, Y avait Landouillard, y avait moi Y avait Berlurond, Cassoulette Y avait aussi Jean La Tripette Nous étions sept Elle était bonne chez des bourgeois Mais elle voulut pas faire son choix Pour n'pas commettre d'impolitesse Elle nous r'mit à tous son adresse Mais v'là-t-y pas qu'au bout d' quéqu'mois Etant d' planton, qui que vois ? La p'tite bobonne, nom d'une giberne Qui s' dirigeait vers la caserne Elle avait un p'tit pékin au maillot Et v'là-t-y pas qu'elle m' le colle dans les bras En m' souriant : C'est toi qu'es son père Et pendant c' temps-là, les autres y rigolent de ma poire C'est c' qui m' fait l' plus ficher en rage C'est qu'y faut que j' sois l' père d'un civil Alors qu' tous nous n'étions qu' des militaires Puisque... {au Refrain} |
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