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Titre : | Les p'tits oiseaux | ||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Urgel, Louis | ||
Interprète(s) : | Mayol, Félix | ||
Fichier audio : | |||
Photo(s) : | |||
Support d'enregistrement : | Disque | ||
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) | ||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||
Marque de fabrique, label : | APGA | ||
Numéro de catalogue : | 1957 | ||
Numéro de matrice : | A95 | ||
Date de l'enregistrement : | 1908 | ||
Instruments : | chant homme, orchestre acc. | ||
État : | Exc++ | ||
Vitesse (tours/minute) : | 77, monter | ||
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 2,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 6k, Cedar X, declick, decrackle, dehiss | ||
Date du transfert : | 18-02-2022 | ||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Disque ébréché, il manque quelques mesures de musique juste après l'annonce | ||
Texte du contenu : | Les p'tits oiseaux
Paroles et musique : Louis Urgel - Éditeur : Charles Mayol (1908) Trois petits enfants d'alouette Ce soir avaient quitté leur nid Ils allaient tous trois dans la nuit Sans souci du chat qui les guette Cui cui cui cuic miauw Cui cui cui cuic miauw De l'ennemi méfiez-vous Mais nos p'tits oiseaux s' moquent pas mal De c' qui peut leur arriver d' mal Ils ont conquis leur liberté Vive la fête et la gaieté ! Tous trois ne se sentant pas d'aise V'là qu'ils entonnent la Marseillaise Cui cui cui cui cui couic ! Le premier, d'humeur vagabonde Dit "J' voudrais bien voir le boulevard Un vieux pinson qu'est un fêtard M'a dit qu' c'est là que s' tient l' beau monde" Cui cui cui cuic miauw Cui cui cui cuic miauw De l'ennemi méfiez-vous Mais un chat les avait suivis Disant "C'est meilleur qu'une souris Y en a un p'tit qui m'a l'air gras Je vais l' serrer entre mes bras" Et s'élançant, la vilaine bête Du p'tit oiseau mangea la tête Cui cui cui cui cui couic ! Déplorant le sort de leur frère Les deux autres petits, l'air penaud Souhaitèrent une absinthe Pernod Pour oublier leur peine amère Cui cui cui cuic miauw Cui cui cui cuic miauw De l'ennemi méfiez-vous Ils entrèrent donc dans un café "Gare, dit l'un d'eux, si j' suis bouffé Par le gros chat qu'est su' l' comptoir Si je suis gris, j' pourrai rien voir Allons, buvons vite la goutte" Et crac ! on l' mange sans qu'il s'en doute Cui cui cui cui cui couic ! Miam ! Alors, songeant à sa famille Le pauvr' petit dernier pleura De froid, de fatigue, il tomba Fut ramassé par une belle fille Cui cui cui cuic miauw Cui cui cui cuic miauw De l'ennemi méfiez-vous "Madame, vous n'avez pas d' chat ?" "Mais si, dit la dame, pourquoi ça ?" "C'est qu' j' vais vous dire, j' les crains beaucoup Mais j' suis philosophe après tout Si j' dois être mangé comme les autres Par un chat… autant qu' ce soir l' vôtre" Cui cui cui cui cui couic ! Hip ! |
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