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Titre : | Les jambes de la belle-mère |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Nicolay, Wladimir ; Dufleuve [Edmond Bouchaud] |
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 1390 |
Numéro de matrice : | 37940-R |
Date de l'enregistrement : | 1909 |
Instruments : | chant homme, orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 87 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 21-03-2022 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Les jambes de la belle_mère
Création : Dufleuve - Paroles : Bouchaud dit Dufleuve - Musique : Wladimir Nicolay - Éditeur : Marcel Labbé Quelle navrante histoire Que j' vais vous conter Elle est triste et noire Braves gens, écoutez Un jour, je rencontre Sosthène Qui riait comme une baleine Je lui dis : Pourquoi qu' tu ris ? Voilà c' qu'il me répondit : {Refrain :} Ma belle-mère A eu les deux jambes coupées la s'maine dernière Elle est tombée sous un train au grand complet Et ça y a coupé les deux jambes au-d'ssus du mollet Ah, ah, ah, ah !… Huit jours se passèrent J' pensais plus à rien J'allais prendre un verre Quand chez l' marchand d' vin J'aperçois mon camarade Riant à s'en rendre malade Tu ris encor, que j' lui dis Oui, m' répond mon ami… {Refrain :} Ma belle-mère A eu les deux jambes brûlées la s'maine dernière Un grand incendie s'est déclaré chez nous Et ça y a brûlé les deux jambes au-dessous du genou Ah, ah, ah, ah !… Un grand mois s'écoule J' flânais au hasard Au milieu d' la foule Sur un grand boul'vard J' rencontre encor cette andouille Rigolant comme une grenouille J' lui dis : Tu ris donc toujours Il me réplique sans détour : {Refrain :} Ma belle-mère A eu les deux jambes broyées la s'maine dernière Elle s' les est fait prendre entre deux gros bignons Et ça y a broyé les deux jambes au ras du croupion Ah, ah, ah, ah !… Je m' dis : C'est une rosse Un garçon sans cœur Il rit, c'est atroce Devant tant d' malheur Quand hier je l' vois encore Entonnant son rire sonore J' m'écrie : Il est dev'nu fou Non, qu'i' m' répond, pas du tout… {Refrain :} Ma belle-mère A encore perdu ses jambes la s'maine dernière Chaque fois qu' ça lui arrive, elle rigole autant qu' moi Car d'puis sa naissance ma belle mère a deux jambes de bois Ah, ah, ah, ah !… |
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