Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
Titre : | La Marseillaise de Boquillon | ||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Georges, Raoul ; Dufleuve [Edmond Bouchaud] | ||
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] | ||
Genre : | Hymne | ||
Fichier audio : | |||
Photo(s) : | |||
Support d'enregistrement : | Disque | ||
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) | ||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||
Marque de fabrique, label : | Pathé | ||
Numéro de catalogue : | 2459 | ||
Numéro de matrice : | 42564-GR | ||
Date de l'enregistrement : | 1909 | ||
Instruments : | chant homme, orchestre acc. | ||
État : | Exc++ | ||
Vitesse (tours/minute) : | 90 | ||
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss | ||
Date du transfert : | 21-03-2022 | ||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. | ||
Texte du contenu : | La Marseillaise de Boquillon
Création : Dufleuve (1909) - Paroles : Bouchaud dit Dufleuve - Musique : Raoul Georges - Éditeur : M. Labbé, Paris (1909) Depuis que j' suis au régiment J'entends parler d' la Marseillaise On r'coit ministre et président Aux accents de la Marseillaise Je m' disais : J' voudrais bien la voir Cette Marseillaise si populaire Quand à Marseille, un certain soir Me prom'nant sur la Canebière Une femme me dit tout bas : J' suis la belle Marseillaise Et j'adore les soldats de toute l'armée française J' n'en croyais pas mes yeux Aussi j' m'écrie : Coquin de Dieu ! {Refrain :} C'est à Marseille Que j'ai rencontré cette merveille Ah oui, vraiment J'étais content En regardant Les yeux brûlants comme la braise C'est à Marseille Que j'ai rencontré cette merveille Près du vieux port Coquin de sort ! C'est là qu' j'ai trouvé la Marseillaise En moi-même, je pensais tout bas : Je crois qu' si tous les camarades Voyaient cette femme-là dans mes bras D' jalousie ils en s'raient malades Faut-il qu'elle en ait un béguin Pour se donner à un troubade Enfin, bref, jusqu'au lendemain On s'est aimés comme deux pintades Puis, l' matin, en se l'vant Elle m'a dit, l'air sincère : Donne-moi un peu d'argent C'est pour ma pauvre mère J'étais content comme tout Aussi j' lui ai donné vingt-trois sous {Refrain :} C'est à Marseille Que j'ai rencontré cette merveille Ah ! quels atours Et quels contours ! Une peau d' velours Deux pommes d'amour Avec une fraise C'est à Marseille Que j'ai rencontré cette merveille Près du vieux port Coquin de sort ! J'ai couché avec la Marseillaise ! |
Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |