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Titre : | J'ai engueulé l'patron | ||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Spencer, Émile ; Phylo Marnois ; Maubon, Louis | ||
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] | ||
Genre : | Café-concert | ||
Fichier audio : | |||
Photo(s) : | |||
Support d'enregistrement : | Disque | ||
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) | ||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||
Marque de fabrique, label : | Pathé | ||
Numéro de double-face : | 2739 | ||
Numéro de catalogue : | 223 | ||
Numéro de matrice : | 75862-RA | ||
Date de l'enregistrement : | 1911-10-xx | ||
Instruments : | chant homme, orchestre acc. | ||
État : | Exc++ | ||
Vitesse (tours/minute) : | 89 | ||
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss | ||
Date du transfert : | 29-03-2022 | ||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Monde ouvrier, lutte sociale | ||
Texte du contenu : | J'ai engueulé l'patron
Création : Montel (1911 à l'Eldorado) - reprises : Serjius, Berthys, Pélissier, Charlus, Miller, Germain Landry, Selmar, Tramel Paroles : Marnois, Louis Maubon - Musique : Émile Spencer - Éditeur : Delormel C'est malheureux qu'en république Il n'y a plus moyen d' travailler Les employeurs sont des bourriques Qui n' considèrent plus l'ouvrier Ainsi j' grattais à la Villette Quand on vint m' dire l'autre matin "I' va y avoir trois jours de fête Vous f'rez l' pont, ça vous ira bien" {Refrain :} J' ai commencé par engueuler l' patron En y disant "Vous êtes un sale cochon Les travailleurs, i' faut les respecter" Je m'ai mis en grève et j'ai tout plaqué Pour un peintre en lettre, en virgules J' travaillais chez un marchand d' vin Fallait mettre en lettr's majuscules "Au coq d'or" sur son magasin "Faut s' dépêcher, i' faut en mettre ! M' dit l' contremaître, montez là-d'ssus Pendant que j' vais faire les autr' lettres Prenez l' pinceau et faites le Q" {au Refrain} J’ai cependant beaucoup d’ courage Mais les gens sont bien mal él'vés Tenez, chez un marchand d’ pavage Comme garçon je suis entré L' compagnon d’une façon bourrue M’ dit "C’est facile, vous allez voir : Pendant que j’ vais paver la rue Vous, vous allez faire le trottoir" {au Refrain} |
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