Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
Titre : | Sa mère veillait sur elle | |||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Christiné, Henri ; Dufleuve [Edmond Bouchaud] | |||
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] | |||
Genre : | Café-concert | |||
Fichier audio : | ||||
Photo(s) : | ||||
Support d'enregistrement : | Disque | |||
Format : | 26 cm saphir étiquette (enregistrement acoustique) | |||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | |||
Marque de fabrique, label : | Pathé | |||
Numéro de double-face : | 4847 | |||
Numéro de catalogue : | 122 | |||
Instruments : | chant homme, orchestre acc. | |||
État : | Exc++ | |||
Vitesse (tours/minute) : | 78 | |||
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss | |||
Date du transfert : | 06-04-2022 | |||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. | |||
Texte du contenu : | Sa mère veillait sur elle
Création : Dufleuve (1911) - reprises : Dranem, Tramel, Paul Lack, Charlus Paroles : Bouchaud - Musique : Henri Christiné - Éditeur : Édition universelle (1911) Un jour, une pauvre petite rosetière Sortie du couvent des petits oiseaux Pour apprendre l’état de couturerière Sur le grand boulevard de Sébasto Sortant d’ son atelier, un soir Un homme l’accosta su' l’ trottoir {Refrain :} Heureusement, sa mère veillait sur elle Le jour, la nuit, le soir et le matin Car sans cela la pauvre jouvencelle Aurait sûrement pris le mauvais chemin Dans un hôtel meublé il l’emmèmène Elle prit son mouchoir et s’ mit à pleurer – Vous êtes bien pudique, ma sirèrène Dit-il, en l’embrassant pour la calmer Il embrassa ses bras, son cou Il l’embrassa un peu partout {au Refrain} – J’ suis pas un vaurien, je vous l’assussure Dit le grand scélérat, croyez-moi bien J’ai des beaux chevaux et des voitutures Puis au p’tit trottin il prit les deux mains Dans sa main gauche il mit un louis Dans l’autre je n’ sais pas c’ qu’il lui mit {au Refrain} Le monstre en fit une gigolelette Il envoya la belle sur le trottoir Le soir, il lui chipait sa galelette Qu’elle avait fourrée dans ses deux bas noirs Il lui prit tout ce qu’il voulut Il en aurait pris beaucoup plus {au Refrain} Mais un soir en s’ promenant dans la rurue Elle se fit pincer par l’agent Bourgeois Qui lui dit : Suivez-moi, l’ingégénue Ouste ! à la préfecture et d'puis, ma foi Elle a sa carte, parole d’honneur Comme qui dirait un électeur {au Refrain} |
Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |