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Titre : | Mendiant d'amour |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Gustave Goublier ; Fabrice Lémon |
Interprète(s) : | Valentin Jaume |
Genre : | Mélodie de concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
Numéro de catalogue : | 60110 |
Numéro de matrice : | xp3080 |
Date de l'enregistrement : | 1906-1907 |
Instruments : | orchestre acc. |
Vitesse (tours/minute) : | 78 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, SME-Clément, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar Duo declickle |
Date du transfert : | 14-02-2023 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Mendiant d'amour
Création : Dickson - reprises : Maréchal, Valentin Jaume, Fred Gouin, Robert Marino, Louis Lynel, Marjal, Lucien Lupi,... Paroles : Fabrice Lémon - Musique : Gustave Goublier - Éditeur : Eveillard Quand vous rencontrez par hasard en chemin Un pauvre qui pleure et vers vous tend la main Votre cœur saigne et s'apitoie Et toute bonté, avec joie Vous lui faites la charité Mais moi que toujours vous trouvez sur vos pas Moi qui, comme lui, souffre et pleure tout bas Pourquoi, pourquoi ne m'écoutez-vous pas ? Comme lui, humble, je mendie Un regard de vous si jolie Comme lui j'implore et supplie Mais en vain, j'ignore pourquoi Ma peine à moi, mes longs tourments Vous laissent sans émoi Faites-moi l'aumône, Madame D'un regard. Que sa vive flamme Vienne réchauffer en ce jour Le pauvre mendiant d'amour Dont vous avez torturé l'âme De votre pitié j'ai trouvé le chemin ! Vos yeux me sourient, vous me tendez la main Permettez qu'ainsi je la tienne Un petit instant dans la mienne Tout contre mon cœur palpitant Mais pour que mes vœux enfin soient exaucés Que mes noirs chagrins, mes pleurs soient effacés Serrer votre main, ce n'est pas assez ! Maintenant, est-ce une folie ? Maintenant ma lèvre mendie De vos lèvres, ô ma jolie ! Un baiser, oh ! rien qu'un baiser Pour apaiser à tout jamais Le mal par vous causé Faites-moi l'aumône suprême D'un baiser. Qu'un peu de vous-même Vienne raviver en ce jour Le pauvre mendiant d'amour Qui désespérément vous aime |
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