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Titre :Verdun ! On ne passe pas
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Mercier, René ; Cazol, Jack ; Joullot, Eugène
Interprète(s) :Bérard, Adolphe
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :29 cm saphir étiquette (enregistrement acoustique)
Marque de fabrique, label :Pathé
Numéro de catalogue :4168
Numéro de matrice :2620
Inscriptions complémentaires :19-12-29
Instruments :orchestre acc.
Vitesse (tours/minute) :78
Matériel employé au transfert :Stanton 150, pointe 2,2ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar duo declickle, dehiss
Date du transfert :06-04-2023
Commentaires :Texte du contenu ci-joint.
Texte du contenu :Verdun ! on ne passe pas

Création : Bérard (1916) - reprises : Daisy-Montho, Carmen Vildez, Wolff, ... - Paroles : Jack Cazol, Eugène Joullot - Musique : René Mercier - Éditeur : Joullot


Bérard :

Un aigle noir a plané sur la ville
Il a juré d'être victorieux
De tous côtés, les corbeaux se faufilent
Dans les sillons et dans les chemins creux
Mais tout à coup, le coq gaulois claironne
"Cocorico, debout petits soldats !
Le soleil luit, partout le canon tonne
Jeunes héros, voici le grand combat !"

{Refrain:}
Et Verdun la victorieuse
Pousse un cri que portent là-bas
Les échos des bords de la Meuse
Halte-là ! On ne passe pas !
Plus de morgue, plus d'arrogance
Fuyez, barbares et laquais !
C'est ici la porte de France
Et vous ne passerez jamais !

Mais nos enfants dans un élan sublime
Se sont dressés et bientôt l'aigle noir
La rage au cœur, impuissant en son crime
Vit disparaître son suprême espoir
Les vils corbeaux devant l'âme française
Tombent, sanglants, c'est le dernier combat
Pendant que nous chantons la Marseillaise
Les assassins fuient devant nos soldats

{au Refrain}


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Wolff :

Un aigle noir a plané sur la ville
Il a juré d'être victorieux
De tous côtés, les corbeaux se faufilent
Dans les sillons et dans les chemins creux
Mais tout à coup, le coq gaulois claironne
"Cocorico, debout petits soldats !
Le soleil luit, partout le canon tonne
Jeunes héros, voici les grands combats !"

{Refrain:}
Et Verdun la victorieuse
Pousse un cri que portent là-bas
Les échos des bords de la Meuse
Halte-là ! On ne passe pas !
Plus de morgue, plus d'arrogance
Fuyez, barbares et laquais !
C'est ici la porte de France
Et vous ne passerez jamais !

Les ennemis s'avancent avec rage
Énorme flot d'un vivant océan
Semant la mort partout sur son passage
Ivres de bruit, de carnage et de sang
Ils vont passer quand, relevant la tête,
Un officier dans un suprême effort
Quoique mourant crie "À la baïonnette !
Hardi les gars, debout ! debout les morts !"

{au Refrain}



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