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Titre : | Mes maîtresses | |||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Holzer, Bernard ; Riffey, Eugène | |||||
Interprète(s) : | Mercadier, Émile | |||||
Genre : | Café-concert | |||||
Fichier audio : | ||||||
Photo(s) : | ||||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | |||||
Format : | Standard (enregistrement acoustique) | |||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | |||||
Marque de fabrique, label : | Pathé | |||||
Numéro de catalogue : | 2576 | |||||
Instruments : | chant homme , piano acc. | |||||
Vitesse (tours/minute) : | 138 | |||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 3,5FCR sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | |||||
Date du transfert : | 05-12-2023 | |||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. | |||||
Texte du contenu : | Mes maîtresses
Paroles : Eugène Riffey - Musique : Bernard Holzer - Éditeur : Victor Puigellier et Ambroise Bassereau - Paris (1897) J'eus beaucoup de chance en amour Car je fus aimé pour moi-même Avec mes maîtresses toujours Mon bonheur fut vraiment extrême Ma première maîtresse était Aimable autant que ravissante Presque pas du tout exigeante À tel point qu'elle m'adorait À part son terme, un p'tit bijou Par-ci par-là quelques toilettes Et de temps en temps quelques dettes Je ne lui donnais rien du tout Qu'on est bien heureux tout de même Quand on est aimé pour soi-même ! Bref, toutes m'aimèrent ainsi De la première à la dernière Je n'eus jamais aucun souci Tant que je fus célibataire Je les regretterai toujours Avec elles, chose sincère C'était le paradis sur terre Le vrai paradis des amours À part quelques petits tourments Et deux ou trois billets de mille Sans me faire la moindre bile Je fus l' plus heureux des amants Ah ! c'est bien charmant tout de même Quand on est aimé pour soi-même ! |
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