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Titre : | Sérénade au clair de lune |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Paul Marinier ; Fernand Heintz |
Interprète(s) : | Félix Mayol |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 4432 |
Numéro de catalogue : | 2641 |
Date de l'enregistrement : | 1918-07-xx |
Instruments : | piano acc. |
Vitesse (tours/minute) : | 80 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 2,5ET sur Shure, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar duo declickle, dehiss |
Date du transfert : | 18-09-2024 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. "Tu mettras des vers luisants dans ta chevelure" : allusion à la sérénade de Sévero Torelli (François Coppée) |
Texte du contenu : | Sérénade au clair de lune
Paroles : Paul Marinier - Musique : Paul Marinier, Fernand Heinz - Vve Charles Mayol Éditeur (1918) Tu m'as promis ton baiser Pour ce soir, ma brune Et voilà qu' tu m' fais poser Au clair de la lune Tu devais venir déjà Avant qu' minuit sonne Voilà deux heures que j' suis là Et j'ai vu personne Si j'ai vu des cieux tomber Une ombre plus dense J'ai vu la blonde Phœbé Passer en silence Le doux zéphyr printanier Passer dans les branches J'ai vu passer le dernier Tramway d' la place Blanche Les gens disaient en m' voyant "C'est l'amour qui guette" L'un disait "C'est un amant" Et l'autre "Un poète" Et tous "Aimons-nous, oui-da Car la vie est courte Tout d' même, pour poser comme ça Faut-y qu'i' soit tourte" Voyant mon air désolé Une dame aimante M'offrit de me consoler Pour deux francs cinquante Toi, tu te donnes sans compter Pour un baiser tendre Aussi, j'ai pas hésité J'aime mieux t'attendre Ah, viens payer à l'amour Sa rançon jolie Dans quelque discret séjour D' Paul et Virginie À ta beauté éperdu Dans les parfums tendres Moi, je paierai mon tribut Tu paieras la chambre Ou bien allons tous les deux Nous rouler sur l'herbe C'est un vrai temps d'amoureux La nuit est superbe Et dans l'ombre, en retirant Ton pantalon d' guipure Je trouv'rai des vers luisants Dans ta chevelure Tu me fais poser sal'ment J'ai l'âme endeuillée Dans les bras d'un autre amant Tu t'es oubliée Je fais le pied d' grue, vraiment Soyons plus modeste Moi, je fais le pied seul'ment Et toi tu fais l' reste |
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