Paroles : Émile Bourdelin - Musique : Paul Henrion - Éditeur : Émile Benoit - Paris
J'adorais en timide amant
Ma voisine d'en face
Mal inspiré fut ce roman
Qui n'eut que la préface
Le mois d'avril était tout près
Quand la brune Francine
{x2 :}
Sema dans un vieux pot de grès
Un grain de capucine
À l'aube, je ..?..
Et je regarde, avide
C'était le terme de juillet
La mansarde était vide
Le nid de mon ange envolé
Semblait une cassine
{x2 :}
Et sur le rebord désolé
Gisait la capucine
Puis j'appris d'un officieux (?)
Que la belle volage
Oiseau des plus capricieux
Changeait souvent de cage
Qu'elle cultivait l'écolier
En droit, en médecine
{x2 :}
Et les lilas du bal Bullier
Mieux que la capucine
Voilà comment finit jadis
L'innocente épopée
À laquelle aucun xxx (Aramis ?)
Ne prêta son épée
Mon cœur n'en fut pas trop meurtri
S'il avait pris racine
{x2 :}
Qui sait s'il ne serait flétri
Comme la capucine