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Titre : | Hardi camarades ! | ||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Villejoie ; Parijanine, Maurice [Maurice Donzel] | ||
Interprète(s) : | Cloërec-Maupas, Ernest | ||
Genre : | Chant communiste | ||
Fichier audio : | |||
Photo(s) : | |||
Support d'enregistrement : | Disque | ||
Format : | 29 cm saphir étiquette (enregistrement acoustique) | ||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||
Marque de fabrique, label : | Étoile Rouge | ||
Numéro de catalogue : | ER2 | ||
Inscriptions complémentaires : | 13-8-28 | ||
Date de l'enregistrement : | 1928 | ||
Instruments : | Chant hommes et choeurs, orchestre acc. | ||
Vitesse (tours/minute) : | 78 | ||
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 3,0ET sur Shure M44, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X declick, decrackle | ||
Date du transfert : | 11-05-2025 | ||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Socialisme, communisme, mouvements pacifistes. Communisme. Il existe une marche nazie sur le même air. | ||
Texte du contenu : | Hardi camarades !
Musique harmonisée par Villejoie, paroles de Maurice Parijanine Version d'Ernest Cloërec-Maupas et Le Vigan, disque Étoile Rouge : Marchons au pas, camarades, Marchons au feu hardiment ! Par-delà les fusillades, La Liberté nous attend ! Place aux vrais fils de la terre, Place aux enfants du labeur ! "Affranchissons tous nos frères !" Sera le cri des vainqueurs. Longtemps rivés à la chaîne, La faim nous a tourmentés. Assez, assez de nos peines ! Nous saurons nous racheter ! Brisons enfin l’insolence Des nobles et des richards ! En terre plantons la lance De notre rouge étendard ! Marchons au pas, camarades, Marchons au feu hardiment ! Par-delà les fusillades, La Liberté nous attend ! - - - Version de la F.T.O.F, disque Piatiletka : Marchons au pas, camarades, Marchons au feu hardiment ! Par-delà les fusillades, La Liberté nous attend ! Place aux vrais fils de la terre, Place aux enfants du labeur ! "Affranchissons tous nos frères !" Sera le cri des vainqueurs. Longtemps rivés à la chaîne, La faim nous a tourmentés. Assez, assez de nos peines ! Nous saurons nous racheter ! Car les puissants de ce monde N’oeuvraient que par nos outils. Dans la révolte qui gronde, Nous chargerons les fusils ! Brisons enfin l’insolence Des nobles et des richards ! En terre plantons la lance De notre rouge étendard ! [Et si demain le peuple bouge Aux quatre coins de la terre Flottera le drapeau rouge, Le drapeau des prolétaires.] Lénine écrivait en 1916 : "bientôt tu seras grand, on te donnera un fusil, prends-le et exerce-toi de ton mieux au métier des armes. C'est une expérience que doivent posséder les prolétaires, non pour tirer contre leurs frères, les ouvriers des autres pays, comme il arrive dans la guerre actuelle, et comme te le conseillent les traîtres du socialisme, mais pour lutter contre la bourgeoisie de notre propre pays, pour mettre fin à l'exploitation, à la misère, et aux guerres autrement que par des voeux inoffensifs ; par la victoire sur la bourgeoisie qui sera alors désarmée." - - - Version de la partition : Marchons au pas, camarades, Marchons au feu hardiment ! Par-delà les fusillades, La Liberté nous attend ! Place aux vrais fils de la terre, Place aux enfants du labeur ! "Affranchissons tous nos frères !" Sera le cri des vainqueurs. Longtemps rivés à la chaîne, La faim nous a tourmentés. Assez, assez de nos peines ! Nous saurons nous libérer ! Car les puissants de ce monde N’oeuvraient que par nos outils. Dans la révolte qui gronde, Nous forgerons nos fusils ! Brisons enfin l’insolence Des nobles et des richards ! En terre plantons la lance De notre rouge étendard ! Et si demain le peuple bouge Aux quatre coins de la terre Flottera le drapeau rouge, Le drapeau des prolétaires. |
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