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Titre : | Adoré des demoiselles |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Christiné, Henri ; Rimbault, Eugène |
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Phénix |
Numéro de catalogue : | 620 (inscr sur boîte) |
Couleur de la pâte : | marron |
État : | abon |
Vitesse (tours/minute) : | 136 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 28-12-2002 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Le nom de la marque n'est pas explicite, mais ce cylindre a été trouvé avec un phono de marque Phénix. Numéro de catalogue écrit au crayon sous la boîte |
Texte du contenu : | Création : Polin (vers 1904-1905 à la Scala) - reprises : Vilbert, Vanyll, René Raoult, Duval, Bouchevil, René Vial, Charland, Tilly, Leconte, Croidel, Fréjol, Urban
Paroles : Eugène Rimbault - Musique : Henri Christiné - Éditions du Tourlourou Fréjol : Chez le lieut'nant, j’ suis ordonnance Et comme chaque soir, il y a chez lui Des d'mi-mondaines pleines d’élégance Elles m’ font de l’œil à moi aussi De toutes faut que j’ fasse les délices J' les abreuve de mon amitié Et j’ fais plus souvent l’exercice Dedans leur log'ment qu’au quartier Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment J'en ai tous les jours une nouvelle Et comme ça j' fais mon p’tit sultan Y a pas ! Elles me lâchent pas d’un cran Ces sacrées p’tites fumelles ! La plus jeune, mam’zelle Octavie Me dit l’autre jour en m’embrassant : Chéri ! j’ t’aim'rai toute ma vie Mais faut m’ prendre par les sentiments J’y réponds : Si ça peut vous plaire J' vous prendrai par là mais avant J’ m’en vais vous prendre par le derrière Ça s'ra toujours plus amusant ! Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment Elles m’ font voir leurs jupes de dentelle Et leurs petits pantalons blancs. Elles m’ font voir aussi c’ qu’y a d’dans Ces sacrés p’tites fumelles ! Oh ! mon beau Philémon, j’ t’adore M’ disait la grosse Félicité Et sur mon cœur où je t’implore Au ciel tu vas être transporté Je lui réponds : Ça, c’est un beurre ! J’ veux bien être transporté au ciel Mais j’ veux être de r’tour à dix heures Afin de n’ pas manquer l’appel Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment Elles m' disent quand je souffle la chandelle : Ah ! mon Dieu, j’ meurs, mon cher amant C’est rigolo, ça meurt tout l’ temps Ces sacrés p’tites fumelles ! Enfin la p’tite Louise de Pomponne En m’ câlinant l’autre jour me dit : Tu sais, je suis une vraie baronne J' descends des croisés, mon chéri Je lui réponds sans plus d' manières : Vrai, vous descendez des croisées Ben, moi pour ne pas m’ foutre par terre J’aime mieux descendre par l’escalier Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment Et pour que j’ leur dise qu’elles sont belles Elles ne m’ laissent pas dormir un moment Elles vont m’ faire crever certainement Ces sacrés p’tites fumelles ! - - - anonyme : Chez l' lieutenant, je suis ordonnance Et comme chaque soir, il y a chez lui Des demi-mondaines pleines d’élégance Elles me font de l’œil à moi aussi De toutes faut que j’ fasse les délices Je les abreuve de mon amitié Et j’ fais plus souvent l’exercice Dedans leur logement qu’au quartier Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment J’en ai chaque soir une nouvelle Et comme ça je fais mon p’tit sultan Y a pas ! Elles me lâchent pas d’un cran Ces sacrées petites fumelles ! La plus jeune, mam’zelle Octavie M’ disait comme ça en m’embrassant : Chéri ! j' t’aimerai toute ma vie Mais faut m’ prendre par le sentiment J’y réponds : Si ça peut vous plaire Je vous prendrai par là mais avant J’aime mieux vous prendre par le derrière Ça sera toujours plus amusant ! Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment Elles m’ font voir leurs jupes de dentelle Et leurs petits pantalons blancs. Elles me font voir aussi c’ qu’y a d’dans Ces sacrés petites fumelles ! Enfin la p’tite Louise de Pomponne En me câlinant l’autre soir me dit : Tu sais qu' je suis une vraie baronne J' descends des croisés, mon chéri Je lui réponds sans plus d' manières : Vrai, vous descendez des croisées Eh bien, moi pour ne pas me foutre par terre J’aime mieux descendre par l’escalier Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment Et pour qu' j’ leur dise qu’elles sont belles Elles m’ laissent pas dormir tranquillement Mais c' qu’elles me font passer d’ bons moments ! Oh oui ! ces sacrés p’tites fumelles ! |
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