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Titre : | À ta porte, lettre d'un amant |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Christiné, Henri |
Interprète(s) : | Maréchal, André |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 1853 |
Numéro de matrice : | 29303P |
Couleur de la pâte : | noir moulé, inscriptions cursive |
État : | moyen |
Vitesse (tours/minute) : | 160 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 08-06-2003 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | A ta porte
Création : Dickson (1906) - reprises : Dalbret, Maréchal, Carvey, Luce Dailly, Giselle, De Nerber, Zaïque, Georgel, Fréhel, etc... Aujourd’hui tu m’écris N’avoir jamais compris D'où provenait notre rupture Pour mieux te l’expliquer Je vais recommencer Le récit de notre aventure ! Lorsque je vins chez toi Pour la première fois C’est déjà bien loin mais qu’importe ! Je me souviens encor Que je tremblais très fort Sur le seuil de ta porte Puis ce fut le roman Cher à tous les amants Ivre de baisers, de caresses Je t’aimais comme un fou Servant à deux genoux L’amour comme on sert une messe Lorsque je te quittais Ton parfum me restait Tes baisers me servaient d’escorte Mais je partais songeur Car je laissais mon cœur Sur le seuil de ta porte Un soir je suis venu Mais sans être attendu Et j’ai trouvé la porte close Je te savais bien là Pourtant tu n’ouvrais pas Ah ! j’ai compris l’horrible chose ! D’ailleurs comment douter ? Des heures j'ai guetté Attendant qu’enfin l’autre sorte Et je t’ai vue, oui toi ! L’embrasser comme moi Sur le seuil de ta porte |
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