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Titre : | Mon beau-frère |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Spencer, Émile ; Botrel, Théodore |
Interprète(s) : | Rollini, Mme |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Inter (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 1430 |
Numéro de matrice : | 7890 |
Instruments : | piano acc. |
Couleur de la pâte : | noir moulé |
État : | abon |
Vitesse (tours/minute) : | 160 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe Edison elliptique sur Ortofon |
Date du transfert : | 29-06-2003 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Mon beau-frère
Paroles : Théodore Botrel - Musique : Émile Spencer - Éditeur : François Bigot - Paris (1892) Mme Dutreux : C’est l’ soir de notre mariage seulement Qu’Arthur m’ présenta Ferdinand Son cher petit frère Bien qu’ du même âge que mon mari Ferdinand est bien plus petit Oh ! ça n’ l’enlaidit pas, au contraire Il est charmant, mon p’tit beau-frère Ah ! si vous l' voyiez, il est tout rose et tout blond ! Très curieux, il aime surtout Fourrer son nez un peu partout Dans la moindre affaire Quand je m’fâche, pour me dérider Et m’empêcher de le gronder Il me fait des farces par derrière Oh ! il est en-dessous, mon p’tit beau-frère Ah ! ah ! il connaît les bons endroits. Ah ! mais j' vous crois Ferdinand est très pudibond Pour le moindre mot folichon Il est très sévère Avec un p’tit air menaçant Il redresse la tête fièrement Et pour un rien s' met en colère Il est très raide, mon p’tit beau-frère J' vous d'mande un peu, oh là là ! vous n'avez jamais rien vu ! J’ suis forcée d’ dire que c' cher petit Pour sa belle-sœur fut très gentil Une année entière Mais mon mari le débaucha Des mois entiers il découcha Bref, depuis la semaine dernière Il est malade, mon p’tit beau-frère Ah ! faudra que j' soigne ça, mon pauvre chéri, ah! ah ! c'est sérieux - - - Mme Rollini : C’est l’ soir de notre mariage seulement Qu’Arthur m’ présenta Ferdinand Son cher petit frère Bien qu’ du même âge que mon mari Ferdinand est bien plus petit Ça n’ l’enlaidit pas, au contraire Il est charmant, mon p’tit beau-frère Malgré sa petite taille, entre nous J’aime mieux Ferdinand qu’ mon époux Vous m’ trouvez légère Mais, mesdames, si vous l’connaissiez Comme moi, vous l’adoreriez Il est rose comme une jeune bergère Et tout frisé, mon p’tit beau-frère Ferdinand est très pudibond Pour le moindre mot folichon Il est très sévère Avec un p’tit air menaçant Il redresse la tête fièrement Et pour un rien se met en colère Il est très raide, mon p’tit beau-frère J’suis forcée d’ dire qu’ ce cher petit Pour sa belle-sœur fut très gentil Une année entière Mais mon mari le débaucha Des mois entiers il découcha Bref, depuis la semaine dernière Il est malade, mon p’tit beau-frère Mais à la fin, m’ fâchant contre eux J’ les ai envoyés tous les deux Se faire lanlaire Depuis lors je pleure jour et nuit Car si j’ regrette peu mon mari Hélas ! ce qui me désespère : J’ peux plus cajoler mon beau-frère |
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