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Titre : | Les Cloches de Corneville ; chanson des gueux |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Planquette, Robert ; Clairville [Louis-François-Marie Nicolaïe] ; Gabet, Charles |
Interprète(s) : | Aumonier, Paul |
Genre : | Opéra-comique |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 564 |
Numéro de matrice : | 351 |
Instruments : | piano acc. |
Couleur de la pâte : | noir moulé |
État : | Bon, moisi |
Vitesse (tours/minute) : | 160 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 11-03-2005 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Chanson des gueux
Création : Ange Milher (1877 au Théâtre des Folies-Dramatiques) - Paroles : Clairville, Charles Gabet - Musique : Robert Planquette - Éditeur : Bathlot / C. Joubert, Paris Enfin, nous voilà transportés Au temps heureux de la légende Vous tous, écoutez, écoutez C'est la vieille chanson normande Nous étions bien cinq cents gueux Tous les cinq cents d'une bande Et je voyais chacun d'eux Qu'à ma guise je commande Obéissant à ma voix Comme au roi de tous les rois Toure loure la la la dirala dirala lon lon la On sait qu' les soldats du roi Ont des casques et des toques Uniforme, palefroi Quand nous n'avons que des loques Mais dans les combats nu-pieds Nous triomphons sans souliers Toure loure la la dirala dirala lon lon la Et les belles d'alentour Qui se connaissent en hommes Nous préfèrent, chaque jour Aux plus riches gentilshommes Chacune a pour amoureux Deux ou trois des cinq cents gueux Toure loure la la dirala dirala lon lon la |
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