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Titre : | Mignon ; connais-tu le pays où fleurit l'oranger ? |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Thomas, Ambroise ; Barbier, Jules ; Carré, Michel |
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Genre : | Opéra-comique |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Lioret n°4 (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Lioret |
Date de l'enregistrement : | 1899-1901 |
Instruments : | orchestre acc. |
Couleur de la pâte : | Celluloïd blanc |
État : | Exc |
Vitesse (tours/minute) : | 114 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 10-04-2006 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Coll. Jalal Aro. |
Texte du contenu : | Mignon ; connais-tu le pays où fleurit l'oranger ?
Création : Célestine Galli-Marié (1866 à l'Opéra-Comique) - Paroles : Jules Barbier, Michel Carré - Musique : Ambroise Thomas Connais-tu le pays où fleurit l'oranger ? Le pays des fruits d'or et des roses vermeilles, Où la brise est plus douce et l'oiseau plus léger, Où dans toute saison butinent les abeilles, Où rayonne et sourit, comme un bienfait de Dieu, Un éternel printemps sous un ciel toujours bleu ! Hélas ! Que ne puis-je te suivre Vers ce rivage heureux d'où le sort m'exila ! C'est là ! c'est là que je voudrais vivre, Aimer, aimer et mourir ! Connais-tu la maison où l'on m'attend là-bas ? La salle aux lambris d'or, où des hommes de marbre M'appellent dans la nuit en me tendant les bras ? Et la cour où l'on danse à l'ombre d'un grand arbre ? Et le lac transparent où glissent sur les eaux Mille bateaux légers pareils à des oiseaux ! Hélas ! Que ne puis-je te suivre Vers ce pays lointain d'où le sort m'exila ! C'est là ! c'est là que je voudrais vivre, Aimer, aimer et mourir ! |
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