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| Titre : | La jolie marchande de tabac |
| Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Louis Byrec ; Eugène Rimbault |
| Interprète(s) : | Victor Lejal |
| Genre : | Café-concert |
| Fichier audio : | |
| Support d'enregistrement : | Cylindre |
| Format : | Lioret n°4 (enregistrement acoustique) |
| Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
| Marque de fabrique, label : | Lioret |
| Date de l'enregistrement : | 1899-1901 |
| Instruments : | orchestre acc. |
| Couleur de la pâte : | Celluloïd blanc |
| État : | Exc |
| Vitesse (tours/minute) : | 107 |
| Matériel employé au transfert : | Archéophone |
| Date du transfert : | 02-05-2006 |
| Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Coll. Jalal Aro. |
| Texte du contenu : | La jolie marchande de tabac
Création : Polin (1897 à la Scala) - Paroles : Eugène Rimbault - Musique : Louis Byrec - Éditeur : Répertoire Polin Victor Lejal sur cylindre Lioret : Juste en face de la caserne Se trouve un bureau de tabac Et l'on va dire des balivernes À la demoiselle qui tient ça Elle est très honnête, la mignonne Car, lorsqu'on lui donne un bécot N’voulant rien devoir à personne Eh bien ! elle vous l’rend aussitôt {Refrain :} Elle est charmante Étourdissante C'est pour elle que mon cœur bat {x2} Tout l’monde l'adore Mam'zelle Aurore La jolie marchande de tabac {x2} D’vant moi comme elle changeait d’corsage Je la regardais, c’est tout clair Et je voyais à l’étalage Ses seins qu’étaient braqués en l’air Je lui dis : Mad’moiselle possède Des outils qui se tiennent d’aplomb Ah oui ! qu’elle répond, y sont raides Parce que j’les passe à l’amidon {au Refrain} Dimanche passé, je frappe chez elle Et en chemise, elle vient m'ouvrir Pendant plus d'un quart d'heure, la belle N’pensait pas du tout à s’vêtir Je lui dis : Ça, c’est pas une mise Elle répond : Oui, j’dois l’déclarer C'est mal d'être d'vant vous en ch’mise Attendez, j’m'en vas la r’tirer {au Refrain} |
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