Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
Titre : | Estudiantina, valse | ||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Lacôme, Paul ; de Lau-Lusignan, J. | ||||
Interprète(s) : | Aumonier, Paul ; Dangès, Henri ; Nansen ; Fournets, René-Antoine | ||||
Genre : | Mélodie de concert | ||||
Fichier audio : | |||||
Photo(s) : |
| ||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | ||||
Format : | Standard (enregistrement acoustique) | ||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||||
Marque de fabrique, label : | Pathé | ||||
Numéro de catalogue : | 806 | ||||
Instruments : | choeur, piano acc. | ||||
Couleur de la pâte : | noir moulé | ||||
État : | Exc, monter | ||||
Vitesse (tours/minute) : | 160 | ||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe Edison elliptique sur Ortofon declick, decrackle | ||||
Date du transfert : | 10-01-2009 | ||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. | ||||
Texte du contenu : | Estudiantina, choeur
- Version Aumonier, Dangès, Nansen, Fournets - Version Devriès, Nansen, Dangès, Belhomme De Salamanque nous sommes Les étudiants joyeux, Pauvres mais tous gentilshommes Ayant moins d'or que d'aïeux. De Cadix à Barcelone De Murcie à Miranda Quand le pandero résonne Chacun se dit "les voilà". Olé ! De Salamanque nous sommes Les étudiants joyeux, Pauvres mais tous gentilshommes Ayant moins d'or que d'aïeux. Ah ! Nous voilà ! Chantons et dansons sans trêve, Tout demain nous dormirons Sous le rideau qui se lève, Glissez donc vos doigts mignons. L'oiseau souvent sur la branche Chante parce qu'il a faim, Jetez, jetez la piécette blanche, Blanche comme votre main. De Salamanque nous sommes Les étudiants joyeux, Pauvres mais tous gentilshommes Ayant moins d'or que d'aïeux. ah ! Nous voilà ! Aux accords de la guitare, Nuit, revêts ton manteau noir ! Pour les belles de Navarre Nous allons chanter ce soir ! Jetez les blanches mantilles, Señoras, sur vos beaux fronts ! Venez, venez, derrière les grilles Les grilles des hauts balcons Venez ! Ah !... Plusieurs décennies plus tard, on retrouve le refrain cité dans Lisa Ventadour : La petite fille et le vieux Limousin (1965), p. 90. |
Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |