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Titre : | Les Cloches de Corneville ; sous des armures... non, vous le voyez... c'est la salle de nos ancêtres |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Planquette, Robert ; Clairville [Louis-François-Marie Nicolaïe] ; Gabet, Charles |
Interprète(s) : | Dupuis, Maurice |
Genre : | Opéra-comique |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | La Cigale, Alart et Cie 27, Boulevard St Martin, Paris |
Numéro de catalogue : | 617 (677?) |
Couleur de la pâte : | noir moulé |
État : | Exc |
Vitesse (tours/minute) : | 130 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe Edison elliptique sur Ortofon declick, decrackle |
Date du transfert : | 10-01-2009 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Les Cloches de Corneville ; sous des armures... non, vous le voyez... c'est la salle de nos ancêtres
On trouve ce morceau sous le titre "Chanson et chœur" (la partition, acte II, scène 12) mais aussi "Non, voyez", "Sous des armures à leur taille" (le plus souvent) ou encore "C'est la salle de mes ancêtres" Création : Ernest Vois (1877 aux Folies-Dramatiques) - Paroles : Clairville, Ch. Gabet - Musique : Robert Planquette - Éditeur : C. Joubert - Paris (1877) La partition : Non, vous le voyez Mes aïeux étaient restés De garde à cette place Et les bandits, dont nous cherchons la trace N'ont pas osé s'approcher d'eux ! Sous des armures à leur taille Que tous ces preux géants portaient Aux croisades, ils combattaient Plus grands encor dans la bataille Et le glaive du Sarrazin Qui de leur cœur suivait la trace Même au défaut de leur cuirasse Même au défaut de leur cuirasse Se brisait contre un cœur d'airain C'est la salle de mes ancêtres Debout sur leurs socles poudreux Debout ! Reconnaissez vos anciens maîtres Tous ces guerriers sont mes aïeux Tous ces guerriers sont mes aïeux Il n'est plus de combats sublimes Aujourd'hui, la mort c'est l'éclair Et le plomb qui siffle dans l'air Au hasard frappe ses victimes Mais au temps de ces fiers soldats Leurs troupes étaient accolées Et corps à corps dans les mêlées Et corps à corps dans les mêlées Ils mouraient mais ne tombaient pas C'est la salle de mes ancêtres Debout sur leurs socles poudreux Debout ! Reconnaissez vos anciens maîtres Tous ces guerriers sont mes aïeux Tous ces guerriers sont mes aïeux |
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