Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
Titre : | Joseph ; grand air : "Vainement Pharaon... champ paternel" |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Méhul, Étienne Nicolas ; Duval, Alexandre |
Interprète(s) : | Lafarge, Emmanuel |
Genre : | Opéra |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Lioret n°4 (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Lioret |
Numéro de catalogue : | 36 |
Date de l'enregistrement : | 1899-1901 |
Couleur de la pâte : | blanc |
État : | bon |
Vitesse (tours/minute) : | 105 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 02-01-1999 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. |
Texte du contenu : | Joseph ; grand air : "Vainement Pharaon... champ paternel"
Paroles : Alexandre Duval - Musique : Etienne-Nicolas Méhul Emmanuel Lafarge : Vainement, Pharaon, dans sa reconnaissance S'empresse à flatter mes désirs ; Au milieu des honneurs, de la magnificence, Mon cœur est tourmenté par d'amers souvenirs Champs paternels, Hébron, douce vallée ! Loin de vous a langui ma jeunesse exilée, Comme au vent du désert se flétrit une fleur Comme au vent du désert se flétrit une fleur Ô mon père, ô Jacob ! dans une pure ivresse Tu m'appelais l'espoir, l'appui de ta vieillesse Et sans moi tu vieillis en pleurant mon malheur ! Et sans moi tu vieillis en pleurant mon malheur ! Frères jaloux, troupe cruelle, C'est vous, c'est vous dont la main criminelle À son amour m'osa ravir C'est vous, c'est vous dont la main criminelle À son amour m'osa ravir Vous avez pu voir sans frémir Ses pleurs, ses pleurs, sa douleur paternelle Ingrats, ingrats, je devrais vous haïr... Je devrais vous haïr... Et pourtant, malgré ces alarmes, Malgré cet affreux souvenir, Si vous pouviez vous repentir, Je serais touché de vos larmes. Si vous pouviez vous repentir, Je serais touché de vos larmes. Je serais touché de vos larmes. Je serais touché de vos larmes. De vos larmes. De vos larmes. |
Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |