Texte du contenu ci-joint. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf.
Texte du contenu :
Robert le diable ; sicilienne
Création : Adolphe Nourrit (1831 à l'Opéra de Paris)
Emmanuel Lafarge :
Ô fortune, à ton caprice
Viens, je livre mon destin
À mes désirs sois propice
Et viens diriger ma main
L'or est une chimère
Sachons, sachons nous en servir
L'or est une chimère
Sachons, sachons, sachons nous en servir
Le vrai bien sur la terre
Ah ! n'est-il pas, n'est-il pas le plaisir ?
Ah ! le vrai bien sur la terre
N'est-il donc pas le plaisir, le plaisir, le plaisir ?
Le vrai bien n'est-il pas [Lucas : N'est-il pas le vrai bien, le vrai bien]
Le vrai bien [Lucas : N'est-il pas le plaisir ?]
Ô fortune, à ton caprice
Viens, je livre mon destin
À mes désirs sois propice
Et viens, et viens diriger ma main, ma main
Viens diriger, diriger ma main
