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Titre : | Joséphine vendue par ses soeurs ; romance de Montosol : Adieu perfide, adieu cruelle |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Roger, Victor ; Ferrier, Paul ; Carré, Fabrice |
Interprète(s) : | Piccaluga, Albert |
Genre : | Opéra-comique |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Levallois-Perret |
Marque de fabrique, label : | La Bouche d'or |
Numéro de catalogue : | 722 |
Date de l'enregistrement : | 1899-1900 |
Instruments : | piano acc. |
Couleur de la pâte : | rouille |
État : | Exc++, monté |
Vitesse (tours/minute) : | 144 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe Edison elliptique sur Ortofon declick, decrackle |
Date du transfert : | 18-01-2009 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Joséphine vendue par ses soeurs : parodie de l'opéra biblique Joseph et ses frères, de Méhul. Intéressant : c'est assurément un cylindre de fabrication "La Bouche d'Or". Comme pour la plupart des cylindres de cette marque, la cire est de couleur rouge brique, avec sa structure en couches multiples, dans sa boîte de la marque, il est pourtant annoncé "chanté par M. Piccaluga pour la Cie des Phonographes Columbia de Paris et New York". Ainsi, non content d'accueillir un peu plus tard la chaîne de moulage des cylindres Edison destinés à la vente française, Fernand desbrière, propriétaire de La Bouche d'or sous-traitait également pour Columbia dès 1900. Voir à ce propos la thèse d'Henri Chamoux La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 233 à 237 du pdf. |
Texte du contenu : | Joséphine vendue par ses soeurs ; adieu perfide, adieu cruelle
Création : Albert Piccaluga (1886 aux Bouffes-Parisiens) - Paroles : Paul Ferrier, Fabrice Carré - Musique : Victor Roger - Éditeur : Choudens père et fils, Paris (1886) Adieu, perfide, adieu, cruelle Trop ingrate pour me chérir Puisque ton cœur est infidèle Hélas, je n'ai plus qu'à mourir ! Mais que l'écho de ma souffrance Porte à celle qui m'oublia Ma dernière romance Avec mon dernier la Ma dernière romance Avec mon dernier la !... Je vais mourir sous ta fenêtre Dans tes jardins, devant tes yeux Et mon ombre viendra peut-être Troubler ton rêve ambitieux ! Mais que l'écho de ma souffrance Porte à celle qui m'oublia Ma dernière romance Avec mon dernier la Ma dernière romance Avec mon dernier la !... |
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