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Titre : | Bonjour Mimi |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Penn, William H. ; Christiné, Henri |
Interprète(s) : | Maréchal, André |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Inter (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 1683 |
Numéro de matrice : | 27114 |
Instruments : | orchestre acc. |
Couleur de la pâte : | noir moulé moulé |
Vitesse (tours/minute) : | 160 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 04-11-2009 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Bonjour Mimi
Création : Karl Ditan (1906) - reprises : Marty, Ribet, Farjaux, Georgel, Arnaud, Marjal, Peurinet, Elvell, Elvhard, Delmas, Jean Flor, Maréchal Paroles : Henri Christiné - Musique : William H. Penn, arrangements Henri Christiné - Éditeur : Célestin Joubert - Paris (1906) C’est par un beau soir d’été Si tu veux te rappeler Que nous nous étions quittés J’étais jaloux et brutal Te faisant toujours du mal Si bien que tu partis, c’était fatal ! J’ai pleuré toute la nuit J’ai souffert et j’ai maudit Jurant que c’était fini Aujourd’hui, je te revois Souriante devant moi Et je sens mon cœur qui bat comme autrefois {Refrain :} Bonjour Mimi, toi dont les yeux me charment Toujours Pour toi, ma mie, j’ai versé bien des larmes D’amour Veux-tu venir comme autrefois, méchante, Me voir ? Bonjour Mimi, c’est pour toi que je chante Ce soir Allons, dis-moi que tu veux Mais qu’as-tu ? je vois, grands dieux Une larme dans tes yeux Tu te recules soudain Et sans me répondre rien Tout en pleurant tu me donnes la main Ah ! oui je comprends pourquoi Tu tendais la main, je vois Un anneau d’or à ton doigt J’ai laissé passer les jours Tu n’es plus libre à ton tour Il est bien fini, mon beau rêve d’amour {Refrain:} Adieu Mimi, toi dont les yeux me charment Toujours Pour toi, ma mie, je verse encor des larmes D’amour Il est trop tard pour que rien me console Un peu Puisque tu pars, tout mon bonheur s’envole Adieu |
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