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| Titre : | Ça paraît un monde |
| Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Aillaud, Théodore ; Bunel, Gabriel |
| Interprète(s) : | Lejal, Victor |
| Genre : | Café-concert |
| Fichier audio : | |
| Support d'enregistrement : | Cylindre |
| Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
| Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
| Marque de fabrique, label : | Edison |
| Numéro de catalogue : | 18066 |
| Date de l'enregistrement : | 1908 juin c. |
| État : | Exc |
| Vitesse (tours/minute) : | 160 |
| Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton |
| Date du transfert : | 20-11-2009 |
| Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
| Texte du contenu : | Ça paraît un monde
Création : Victor Lejal (1900 à la Scala) - Paroles : Théodore Aillaud - Musique : Théodore Aillaud, Gabriel Brunel - Éditeur : les Répertoires Réunis - Maurel - Paris (1900) On sait pour un premier début L’émotion que cela vous cause On tremble avant d’aller au but Eh bien, pour tout c’est la même chose Étant tout petit lorsqu’il voit À portée un pot d’confiture L’enfant se perd en conjectures Avant d’oser y mettre un doigt {Refrain :} Ça paraît un monde La première fois Mais à la seconde On est mieux chez soi Le premier pas coûte Mais une fois en route On marche sans forcer On est prêt à recommencer Quand une jeune fille sort du couvent Le front rougissant et candide Dans le monde avec ses parents Elle risque un regard timide Pendant l’bal, au lieu de danser Elle se cache avec prudence Pourtant elle adore la danse Mais l’plus dur, c’est pour commencer {au Refrain} Je disais tout dernièrement À mon voisin le sergent d’ville : Votre besogne, par moment Doit être rud'ment difficile Lorsque, dans un rassemblement Vous cognez d’une façon terrible Ça doit vous paraitre pénible Il me répondit tranquillement : {au Refrain} |
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