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| Titre : | L'enfant de la Forêt Noire |
| Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Schillio, Albert ; Isch-Wall, Alfred |
| Interprète(s) : | Rollini, Mme |
| Fichier audio : | |
| Support d'enregistrement : | Cylindre |
| Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
| Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
| Marque de fabrique, label : | Edison |
| Numéro de catalogue : | 17787 |
| Date de l'enregistrement : | 1906-juin c. |
| État : | rayé irrécupérable |
| Vitesse (tours/minute) : | 80 doublé |
| Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton, flat, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
| Date du transfert : | 27-11-2009 |
| Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Repris plus tard par Od'ett : "Travaillera Rusticana" [chansons interlopes] |
| Texte du contenu : | L'enfant de la Forêt Noire
Création : Maria Pacra (1879 à l'Eldorado) - reprises : Jane Helly, Ernestine Néau, Mme Rollini, Edgard Detrait - Paroles : Alfred Isch-Wall - Musique : Albert Schillio - Éditeur : Louis Bathlot - Paris (1879) Ernestine Néau : Jeune enfant de la Forêt-Noire Je quitte exprès nos verts coteaux Pour vous raconter mon histoire Et vendre mes petits bibelots C'est de jolis petits bonshommes Que j’ai sculptés dans les sapins Car pauvres filles que nous sommes V’là notre ouvrage tous les matins {Refrain:} Nous coupons, nous ciselons Le bois des forêts en fleurs Et sculptons des maisons Pour messieurs les voyageurs {jodel} Pour découvrir mon infidèle Un jour, j’ai pris mon magasin J’ai mis ma robe la plus belle Et pour Paris vite en chemin Mais c'est en vain que, l'âme en peine J’tâche de retrouver mes amours De la Bastille à la Madeleine Je le cherche en répétant toujours : {au Refrain} {jodel} ------------------ Mme Rollini : Pauvre enfant de la Forêt-Noire Je quitte exprès mes verts coteaux Pour vous raconter mon histoire Et vendre mes petits bibelots C'est de jolis petits bonshommes Que j’ai sculptés dans les sapins Car pauvres filles que nous sommes V’là notre ouvrage tous les matins {Refrain:} Nous coupons, nous ciselons Le bois des forêts en fleurs Et sculptons des maisons Pour messieurs les voyageurs {jodel} Pour découvrir mon infidèle Un jour, j’ai pris mon magasin J’ai mis ma robe la plus belle Et pour Paris vite en chemin Mais c'est en vain que, l'âme en peine J’tâche de retrouver mes amours De la Bastille à la Madeleine J' les cherche en répétant toujours : {au Refrain} {jodel} |
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