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Titre : | Jenny, one-step |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Nazelles, René ; Penso, Raffaelo |
Interprète(s) : | Golder, Jenny (Rosie Sloman) |
Genre : | Music-hall |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 30 cm saphir étiquette noire (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 4333 |
Numéro de matrice : | 200585 |
Date de l'enregistrement : | 1926-12-xx |
Vitesse (tours/minute) : | 80 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe HMV, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 01-05-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Jenny
Création : Jenny Golder (1926 au Music-Hall des Champs-Élysées) - reprises : Berthe Delny, Charlotte Dauvia, Lizzie Sammy, Lucienne Boyer, Marcelle Rahna Paroles : René Nazelles - Musique : Raffaello Penso - Éditeur : Francis Day - Paris Quand j' suis v’nue au monde, papa m’attendait Et faut voir comme il s’impatientait Comme j’ai vu le jour vers les neuf heures du soir Autour de maman, tout était noir Elle fait un soupir, tout l’monde est en émoi On allume, c’était moi Papa me voyant les yeux braqués sur lui Tout à fait navré, viv'ment me dit : {}Refrain :} Jenny, Jenny N’me r’garde pas comme ça ! Jenny, Jenny Ça m’fait quéque chose là Tes deux yeux qui roulent sont-ils bien attachés ? J’ai toujours peur de les voir se décrocher Jenny, Jenny N’me r’garde pas comme ça ! Jenny, Jenny Ça m’fait quéque chose là Fais r’poser ta pupille Dis, reste un peu tranquille Jenny, Jenny Ah ! Jenny ! À douze ans, pour me mettre des anneaux charmants On dit : C’qu’il faut faire à cette enfant C’est lui percer les oreilles. Moi, j’pousse un cri Le docteur très gentiment me dit : Je vais t’endormir, regarde-moi dans les yeux Ce sera beaucoup mieux Mais v’là qu’il s’arrête en criant : Je n’peux pas Car tu as les yeux qui s’croisent les bras {au Refrain} Le jour de mes noces fut un soir de gala Car mon mari était un peu là Je pensais tout bas : Ah ! qu’il est beau garçon Mais tout change le soir à la maison Il m’embrasse froidement. Je lui dis : Qu’est-ce que t’as, hé, darling ? Il me répond : Je n’peux pas C’est plus fort que moi, vrai, je n’peux pas faire mieux Ou il faut que tu fermes les yeux {au Refrain} |
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