Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
Titre : | Les Cloches de Corneville ; en 16 disques ; 08 nous avons, hélas ! Perdu d'excellents maîtres | ||||||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Planquette, Robert ; Clairville [Louis-François-Marie Nicolaïe] ; Gabet, Charles | ||||||||
Interprète(s) : | Brothier, Yvonne | ||||||||
Genre : | Opéra-comique | ||||||||
Fichier audio : | |||||||||
Photo(s) : |
| ||||||||
Support d'enregistrement : | Disque | ||||||||
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) | ||||||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||||||||
Marque de fabrique, label : | Gramophone LVM | ||||||||
Numéro de double-face : | K861 | ||||||||
Numéro de catalogue : | 233106 | ||||||||
Numéro de matrice : | s21200u | ||||||||
Date de l'enregistrement : | 1920-03-02 | ||||||||
Instruments : | choeurs acc. | ||||||||
Vitesse (tours/minute) : | 80 | ||||||||
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe HMV, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||||||||
Date du transfert : | 02-05-2010 | ||||||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. | ||||||||
Texte du contenu : | Les cloches de Corneville ; nous avons hélas perdu d'excellents maîtres (chanson des cloches)
Création : Conchita Gélabert (1877 au Théâtre des Folies-Dramatiques) - Paroles : Louis Clairville, Charles Gabet - Musique : Robert Planquette Mary Boyer ? Nous avons, hélas, perdu d'excellents maîtres Et les revenants qui troublent notre esprit De nos bons seigneurs sont les nobles ancêtres Qui dans le château ressuscitent la nuit Ils voudraient revoir leurs héritiers peut-être Et quand de l'exil nos maîtres reviendront Par un revenant de garde à la fenêtre On dit qu'à l'instant les cloches sonneront On dit qu'à l'instant les cloches sonneront Digue digue digue digue diguedon Sonne, sonne, sonne, sonne sonne donc Digue digue digue digue diguedon Sonne, sonne donc, joyeux carillon Il ne sonnait pas aux jours de nos défaites Il ne sonnait pas dans les temps malheureux Mais comme il sonnait aux jours de grandes fêtes Ou quand s'unissaient deux jeunes amoureux ! Depuis qu'il se tait, la ville est moins joyeuse Depuis qu'il se tait s'éloignent les amours Ce château nous cause une frayeur affreuse Et voilà pourquoi nous répétons toujours Et voilà pourquoi nous répétons toujours : Digue digue digue digue diguedon Sonne, sonne, sonne, sonne, sonne donc Digue digue digue digue diguedon Sonne, sonne, sonne donc, joyeux carillon Digue digue digue digue diguedon Sonne, sonne, sonne, sonne, sonne donc Digue digue digue digue diguedon Sonne, sonne, sonne donc, joyeux carillon |
Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |