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Titre : | Les Cloches de Corneville ; en 16 disques ; 19 j'avais perdu la tête et ma perruque | ||||||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Planquette, Robert ; Clairville [Louis-François-Marie Nicolaïe] ; Gabet, Charles | ||||||||
Interprète(s) : | Elain | ||||||||
Genre : | Opéra-comique | ||||||||
Fichier audio : | |||||||||
Photo(s) : |
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Support d'enregistrement : | Disque | ||||||||
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) | ||||||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||||||||
Marque de fabrique, label : | Gramophone LVM | ||||||||
Numéro de double-face : | K867 | ||||||||
Numéro de catalogue : | 232939 | ||||||||
Numéro de matrice : | s21319u | ||||||||
Date de l'enregistrement : | 1920-04-19 | ||||||||
Vitesse (tours/minute) : | 80 | ||||||||
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe HMV, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||||||||
Date du transfert : | 02-05-2010 | ||||||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. | ||||||||
Texte du contenu : | Les cloches de Corneville ; j'avais perdu la tête
Création : François-Louis Luco dans le rôle du Bailli (1877 au Théâtre des Folies-Dramatiques) - Paroles : Clairville, Charles Gabet - Musique : Jules Massenet - Éditeur : C. Joubert, Paris J’avais perdu la tête et ma perruque. Ma fiancée et toute dignité; fl était temps de dérober ma nuque Aux quolibets d’une ville en gaîté. Par tout le monde apostrophé, J’entendais dire à la foule incivile, En me voyant ainsi coiffé En me voyant ainsi coiffé : C'est un mari, c'est un mari C’est un mari de Corneville. C'est un mari, c'est un mari De Corne, de Corne, de Corneville. Je n’osais plus retourner au bailliage, Je n’osais plus me montrer nulle part. J’étais à bout de force et de courage, Quand vous m’avez rencontré par hasard ; Et j’entendais tous les échos Qui m’arrivaient de cette affreuse ville, Me poursuivant avec ces mots Me poursuivant avec ces mots : C'est un mari, c'est un mari C’est un mari de Corneville. C'est un mari, c'est un mari De Corne, de Corne, de Cornevi, oui, oui, oui, oui… -ille. |
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