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Titre : | Ma gosse chérie |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Borel-Clerc, Charles ; Roydel, Louis |
Interprète(s) : | Bérard, Adolphe |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 2502 |
Numéro de catalogue : | 3886 |
Numéro de matrice : | 53096GR |
Inscriptions complémentaires : | 23-04 |
Date de l'enregistrement : | 1910-02-xx |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc |
Vitesse (tours/minute) : | 90 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Westrex passe-bas 2kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 12-05-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Ma gosse chérie
Création : Bérard (1909) - reprises : Suzanne Valroger, Yette Anceny, Mlle Dem's, Mme Bérengère, Charotte Desbly, A. Sylva, Yvonne Murger, Dorneval, Resca, Gros, Castelly, Madri, Mssay, Orthe, Harmant, Autran B. Paroles : Louis Roydel - Musique : Charles Borel-Clerc - Éditeur : Charles Borel-Clerc, Paris (1909) Il était graveur, elle était fleuriste Tous deux travaillaient chaque jour dans Paris Elle était rieuse et lui plutôt triste Ils se rencontraient quand sonnait midi Il osa pourtant lui dire : Je vous aime ! Dame ! c’était l’avril avec son printemps Alors commença dans un cher poème La chanson d’amour si douce aux amants Et d’puis ce jour-là, bras-dessus, bras-dessous Il lui murmura tendrement d’un air doux : {Refrain :} Ma gosse chérie, ô toi, ma vie ! Sois mon étoile, guide mes pas Mon âme éprise D’amour se grise De la beauté de tes appas Sans ta caresse Sans ta tendresse J’vois bien que je ne vivrai pas T’es si jolie… T’es toute ma vie Ma gosse chérie ! Le dimanche matin, sous l’soleil superbe Ils partaient gaiement courir les buissons Faisant des bouquets de fleurs et de gerbes Jetant aux échos leurs folles chansons Dans les p’tits pays, où c’était la fête Sous la tente d’un bal, ils allaient danser Puis le soir venu, la dînette faite Ils marquaient chaque pas d’un brûlant baiser Enlacés tous deux, sa p'tite main dans sa main Il chantait, joyeux, tout le long du chemin : {au Refrain} |
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