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Titre : | L'Angélus de la mer | |||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Goublier, Gustave ; Durocher, Léon | |||||
Interprète(s) : | Trio artistique | |||||
Genre : | Mélodie de concert | |||||
Fichier audio : | ||||||
Photo(s) : |
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Support d'enregistrement : | Cylindre | |||||
Format : | Amberol noir (enregistrement acoustique) | |||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | |||||
Marque de fabrique, label : | Edison | |||||
Numéro de catalogue : | 4M-17025 | |||||
Numéro de matrice : | 4 | |||||
Date de l'enregistrement : | 1909 | |||||
Instruments : | orchestre acc. | |||||
Couleur de la pâte : | noir moulé moulé | |||||
État : | Exc | |||||
Vitesse (tours/minute) : | 160 | |||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 78 sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe HMV, Cedar X declick, decrackle, dehiss | |||||
Date du transfert : | 14-05-2010 | |||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Intéressante mention publicitaire (réclame) imprimée, sans doute tirée d'un catalogue, et collée sur le couvercle : 'L'angélus de la mer, de Goublier chanté par le Trio Artistique. Cet admirable cylindre est tout désigné pour constituer l'attrait de douces soirées d'hiver autour du phonographe Edison.' | |||||
Texte du contenu : | A l'horizon se lève et rit l'aube vermeille ...
Marins perdus en mer ! Voici l'heure où là-bas le vieux clocher s'éveille Et chante au matin clair... Entendez-vous ? Dans la brise qui jase Tinte l'écho des cloches du pays, Les flots joyeux que la lumière embrase Ondulent plus blonds que les blonds épis... Au loin, c'est l'Angélus ! C'est l'Angélus qui sonne A genoux donc sous le ciel bleu, A genoux donc et priez Dieu ! Laboureurs de la mer, Et que le jour rayonne ! C'est l'Angélus ! C'est l'Angélus ! C'est l'Angélus ! Sur nos mâts triomphants le soleil plane et brille... Marins perdus en mer ! Voici l'heure là-bas s'incline la faucille Qui fauche le blé clair... Entendez-vous ? Dans la brise hautaine, Dans l'air poudreux où flambent des rayons, Vibre l'appel d'une cloche lointaine, Comme pour bénir nos fiers pavillons... Au loin, c'est l'Angélus ! C'est l'Angélus qui sonne A genoux donc sous le ciel bleu, A genoux donc et priez Dieu ! Laboureurs de la mer, Et que le jour rayonne ! C'est l'Angélus ! C'est l'Angélus ! C'est l'Angélus ! Les feux mourants du jour on empourpré nos voiles... Marins perdus en mer ! Voici l'heure où là-bas s'allument les étoiles, Brodant l'azur moins clair... Entendez-vous dans la brise qui rêve Des sons divins qui semblent s'approcher ? Le paysan, dont le labeur s'achève, Écoute, pensif, la voix du clocher... Au loin, c'est l'Angélus ! C'est l'Angélus qui sonne A genoux donc sous le ciel bleu, A genoux donc et priez Dieu ! Laboureurs de la mer, Et que le jour rayonne ! C'est l'Angélus ! C'est l'Angélus ! C'est l'Angélus ! |
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