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Titre : | La p'tite dame du métro |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Darewski, Herman ; Christiné, Henri ; Trébitsch, Alexandre |
Interprète(s) : | Fragson, Harry |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Idéal |
Numéro de catalogue : | 5318-9 |
Vitesse (tours/minute) : | 88 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 04-06-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Métropolitain, station Odéon |
Texte du contenu : | La p'tite dame du métro
Paroles : Henri Christiné, Alexandre Trébitsch - Musique : H. E. Darewsky, Fragson - Éditeur Christiné - Paris (1911) Création : Fragson (1911) - reprises : Paul Lack, Marjal, Mayol, Maurice Chevalier L’autre jour, j’étais dans le métro Une dame s’assied près d’moi. Je la r’garde aussitôt Mais la lumière juste à ce moment S’éteignait brusquement Ma voisine effrayée s' jette dans mes bras Affolé, je l’embrasse et d’puis c’jour-là Je l’ai cherchée en vain et plein d’émoi J’dis à chaque femme que j’aperçois : {Refrain :} Est-ce vous la petite femme qu’était l’autre tantôt Près d’moi dans l’métro À la station De l’Odéon ? Je n’ai pas pu vous voir Car il faisait trop noir Mais j’voudrais savoir Est-ce vous, est-ce vous Dont le baiser si doux M’a rendu amoureux fou ? Depuis ce jour-là dans tout Paris Je passe tout mon temps à courir jour et nuit Sans retrouver l’objet d’mes amours Que je cherche toujours Vous, madame, au troisième rang des fauteuils Vous avez une petite lueur dans l’œil Ne baissez pas la tête en rougissant Et répondez-moi franchement : {Refrain :} Est-ce vous la petite femme qu’était l’autre tantôt Près d’moi dans l’métro À la station De l’Odéon ? Votre voisin sourit Vous souriez aussi Très bien, j'ai compris Vous vous aimez Et pour vous embrasser Ce n'est pas l' métro qu' vous prenez ! Mais j’aperçois une jolie femme là-bas Qui m’fait signe que c’est elle, vraiment je n’en r’viens pas Quoi, c’est vous, madame, ah ! quel honneur ! Je suis fou de bonheur ! Vous avez d’la mémoire, c’est merveilleux Vraiment, madame, je n’en crois pas mes yeux… Vous me reconnaissez, c’est épatant Moi je n’peux pas en dire autant Attendez un peu, allons, c'est donc bien vrai... {Refrain :} C’est vous la petite femme qu’était l’autre tantôt Près d’moi dans l’métro ? Comment qu’ça s’fait ? Je l’prends jamais !… Vous émotionnez pas Quand j’dis cette chanson-là C’est toujours comme ça Ça n’rate jamais Au quatrième couplet Y a une dame qui me r'connaît ! |
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